Je sais que je vais réveiller de vieux démons, et fâcher quelques uns, mais je me dois de poser cette question et m'adresser à la bonne...
Je sais que je vais réveiller de vieux démons, et fâcher quelques uns, mais je me dois de poser cette question et m'adresser à la bonne personne, aussi je demande ouvertement à Monsieur Le Président de la République Hery RAJAONARIMAMPININA, si c'est confirmé qu'en plus de son Directeur de Cabinet Rabary-Njaka, avocat au barreau de Paris et Président en second de Madagascar , il a bien le dénommé Patrick Leloup comme Conseiller spécial avec le poste très envié de ministre de la sécurité publique à titre officieux.
Pourquoi, je vais aujourd'hui parler de ce triste sir, parce qu’un individu de ce genre, qui au cours d'un diner"des cons" a raconté dans le détail ses frasques avec les militaires du Capsat envers l'Ambassadeur des Etats-Unis,les Officiers supérieurs de l'armée Malgache où ouvertement il s'est auréolé d'une gloire d'avoir dit et redit" exécuter ce que l'on vous dit, sinon JE VOUS TUE tout de suite" et puis au-dessus de tout cela dire avec une joie intense que les Malgaches sont des babakoto!
Tout en répondant à des interlocuteurs téléphoniques pour leur confirmer une transaction en cours concernant 20 tonnes de minerais... j'ai écouté toute la bande sonore, c'est édifiant.
Voici Monsieur le Président ce que disent certains quotidiens en langue malgache sur votre conseiller très spécial " Patrick Leloup , Conseiller spécial de Hery RAJAONARIMAMPININA veut en finir avec Ravalomanana Marc, En effet, le rôle de Patrick Leloup consiste à faire passer le message suivant: tout ce qui touche de près ou de loin, à Marc RAVALOMANANA doit être anéanti à jamais. " "Il faut dire que ce PATRICK LELOUP tient sa promesse.Par exemple, dans la ville de Tuléar et de Fianarantsoa, et d'Antsirabe, personne ne doit prononcer le mot "rassemblement au nom de Marc RAVALOMANANA", sinon, ils sont arrêtés. Les gens parlent de dictature nouvelle. Il est interdit de porter un T-Shirt portant la photo de Marc Ravalomanana ."
Monsieur le Président, nous savons tous que votre situation n'est pas des plus confortables, mais tout de même, vous avez le pouvoir, comment pouvez-vous accepter ce genre d'agissements qui ressemblent de plus en plus à des règlements de compte, une mise sous tutelle dictatoriale, alors pour vous rappelez que ces personnes que vous mettez en avant ne sont plus la France, je vous mets en suite un aperçu de ce que pense le monde des affaires en France, "
" l'Editorial d'une Newsletter intitulée « Lettre pays Madagascar », publiée en tandem par la CCIFM et UBIFRANCE. Il s'agit du numéro 20 d'octobre 2014, « Pour l'instant les bailleurs de fonds de Madagascar n'ont toujours pas desserré les cordons de la bourse. Certains prétendent que c'est en raison de l'inertie gouvernementale, laquelle l'empêche de présenter un projet cohérent, ou quelque chose qui y ressemble. Ce n'est pourtant pas par manque d'expérience. Depuis quarante ans que Madagascar tend la main, entre les «Madagascar Action Plan», les «programmes de développement», les «programmes d'ajustements structurels» et autres dénominations pittoresques, les fonctionnaires malgaches sont sans aucun doute rompus à cette tâche.
Le défaut ne vient donc pas de là, c'est certain. Il s'agirait alors dit‐on, d'un manque de vision générale des dirigeants en matière de besoins du pays ou, plus grave encore, de signes d'une mauvaise volonté, totalement à rebours des discours officiels"...." les mêmes bailleurs de fonds ont décidé, nonobstant cette somnolence coupable, et sans plus de justifications, d'accorder au pays des aides budgétaires conséquentes puisqu'elles atteignent 235 millions d'euros (FMI 47 millions de dollars, UE 78 millions d'euros, Banque Mondiale 45 millions de dollars, Banque Africaine de Développement 37 millions de dollars, Japon 16 millions de dollars, France 40 millions d'euros). Puisqu'elles sont budgétaires, ces aides sont destinées à faire tourner l'administration malgache et par ailleurs, elles sont décaissables en plusieurs fois. Si le grand sommeil persiste, le risque sera grand dit‐on de voir s'évaporer les secondes tranches. " ...mais d'ailleurs est‐ce bien raisonnable d'équilibrer ainsi le budget d'un pays qui, l'air de rien, ne bouge pas le petit doigt ? Pourquoi ne pas plutôt faire rendre gorge aux pillards qui plastronnent, assurés qu'ils sont de leur impunité ?
Cela ne comblerait pas le trou, mais ce serait un geste fort. Évidemment, puisqu'il faut faire «rentrer l'argent», les entreprises du secteur privé - toujours les mêmes, celles qui sont considérées comme honnêtes à priori ou en tout cas celles qui paient leurs impôts ‐ continuent de subir ce racket fiscal dénoncé mille fois devant les autorités ; lesquelles feignent alors de s'étonner et prennent le prétexte du FMI."...". Donc, on voit bien que transition ou pas, rien ne change. La misère remplace l'extrême pauvreté et Madagascar sombre. Hélas, ce ne sont pas quelques millions de dollars en plus ou en moins qui suffiront à redresser le pays. Il faut beaucoup plus que de l'argent. Il faut de la volonté et d'abord la volonté des dirigeants. On n'en est pas là ».
André Beaumont Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie France Madagascar Représentant d'UBIFRANCE
Tout est dit, ce que beaucoup vous disent , vous écrivent, virez ces voyous, ces incapables et si vous avez peur, lancez un S.O.S, vous verrez que vous n'êtes pas seul, mais faites face à ces médiocres et même si son beau-père , contre amiral de la grande flotte malgache vous fait peur, n'ayez crainte vous avez des officiers qui croupissent en exil ou en prison qui bientôt vous diront "Présent".
04 NOVEMBRE 2014 | PAR PHILIPPE DIVAY
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Pourquoi, je vais aujourd'hui parler de ce triste sir, parce qu’un individu de ce genre, qui au cours d'un diner"des cons" a raconté dans le détail ses frasques avec les militaires du Capsat envers l'Ambassadeur des Etats-Unis,les Officiers supérieurs de l'armée Malgache où ouvertement il s'est auréolé d'une gloire d'avoir dit et redit" exécuter ce que l'on vous dit, sinon JE VOUS TUE tout de suite" et puis au-dessus de tout cela dire avec une joie intense que les Malgaches sont des babakoto!
Tout en répondant à des interlocuteurs téléphoniques pour leur confirmer une transaction en cours concernant 20 tonnes de minerais... j'ai écouté toute la bande sonore, c'est édifiant.
Voici Monsieur le Président ce que disent certains quotidiens en langue malgache sur votre conseiller très spécial " Patrick Leloup , Conseiller spécial de Hery RAJAONARIMAMPININA veut en finir avec Ravalomanana Marc, En effet, le rôle de Patrick Leloup consiste à faire passer le message suivant: tout ce qui touche de près ou de loin, à Marc RAVALOMANANA doit être anéanti à jamais. " "Il faut dire que ce PATRICK LELOUP tient sa promesse.Par exemple, dans la ville de Tuléar et de Fianarantsoa, et d'Antsirabe, personne ne doit prononcer le mot "rassemblement au nom de Marc RAVALOMANANA", sinon, ils sont arrêtés. Les gens parlent de dictature nouvelle. Il est interdit de porter un T-Shirt portant la photo de Marc Ravalomanana ."
Monsieur le Président, nous savons tous que votre situation n'est pas des plus confortables, mais tout de même, vous avez le pouvoir, comment pouvez-vous accepter ce genre d'agissements qui ressemblent de plus en plus à des règlements de compte, une mise sous tutelle dictatoriale, alors pour vous rappelez que ces personnes que vous mettez en avant ne sont plus la France, je vous mets en suite un aperçu de ce que pense le monde des affaires en France, "
" l'Editorial d'une Newsletter intitulée « Lettre pays Madagascar », publiée en tandem par la CCIFM et UBIFRANCE. Il s'agit du numéro 20 d'octobre 2014, « Pour l'instant les bailleurs de fonds de Madagascar n'ont toujours pas desserré les cordons de la bourse. Certains prétendent que c'est en raison de l'inertie gouvernementale, laquelle l'empêche de présenter un projet cohérent, ou quelque chose qui y ressemble. Ce n'est pourtant pas par manque d'expérience. Depuis quarante ans que Madagascar tend la main, entre les «Madagascar Action Plan», les «programmes de développement», les «programmes d'ajustements structurels» et autres dénominations pittoresques, les fonctionnaires malgaches sont sans aucun doute rompus à cette tâche.
Le défaut ne vient donc pas de là, c'est certain. Il s'agirait alors dit‐on, d'un manque de vision générale des dirigeants en matière de besoins du pays ou, plus grave encore, de signes d'une mauvaise volonté, totalement à rebours des discours officiels"...." les mêmes bailleurs de fonds ont décidé, nonobstant cette somnolence coupable, et sans plus de justifications, d'accorder au pays des aides budgétaires conséquentes puisqu'elles atteignent 235 millions d'euros (FMI 47 millions de dollars, UE 78 millions d'euros, Banque Mondiale 45 millions de dollars, Banque Africaine de Développement 37 millions de dollars, Japon 16 millions de dollars, France 40 millions d'euros). Puisqu'elles sont budgétaires, ces aides sont destinées à faire tourner l'administration malgache et par ailleurs, elles sont décaissables en plusieurs fois. Si le grand sommeil persiste, le risque sera grand dit‐on de voir s'évaporer les secondes tranches. " ...mais d'ailleurs est‐ce bien raisonnable d'équilibrer ainsi le budget d'un pays qui, l'air de rien, ne bouge pas le petit doigt ? Pourquoi ne pas plutôt faire rendre gorge aux pillards qui plastronnent, assurés qu'ils sont de leur impunité ?
Cela ne comblerait pas le trou, mais ce serait un geste fort. Évidemment, puisqu'il faut faire «rentrer l'argent», les entreprises du secteur privé - toujours les mêmes, celles qui sont considérées comme honnêtes à priori ou en tout cas celles qui paient leurs impôts ‐ continuent de subir ce racket fiscal dénoncé mille fois devant les autorités ; lesquelles feignent alors de s'étonner et prennent le prétexte du FMI."...". Donc, on voit bien que transition ou pas, rien ne change. La misère remplace l'extrême pauvreté et Madagascar sombre. Hélas, ce ne sont pas quelques millions de dollars en plus ou en moins qui suffiront à redresser le pays. Il faut beaucoup plus que de l'argent. Il faut de la volonté et d'abord la volonté des dirigeants. On n'en est pas là ».
André Beaumont Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie France Madagascar Représentant d'UBIFRANCE
Tout est dit, ce que beaucoup vous disent , vous écrivent, virez ces voyous, ces incapables et si vous avez peur, lancez un S.O.S, vous verrez que vous n'êtes pas seul, mais faites face à ces médiocres et même si son beau-père , contre amiral de la grande flotte malgache vous fait peur, n'ayez crainte vous avez des officiers qui croupissent en exil ou en prison qui bientôt vous diront "Présent".
04 NOVEMBRE 2014 | PAR PHILIPPE DIVAY
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.