Le Président de la République Monsieur Héry Rajaonarimampianina est le Président de la République, doté de plein pouvoir pour assumer ses...
Le Président de la République Monsieur Héry Rajaonarimampianina est
le Président de la République, doté de plein pouvoir pour assumer ses
responsabilités.
Il est difficile de faire oublier la Transition dont lui-aussi a fait partie,l’auteur du Putsch de 2009 plane au dessus de lui, parfois directement d'autres fois par personnes interposées, nous devons comprendre que cinq années au service des Putschistes en tant que Grand Argentier,de lourdes responsabilités, ne peuvent disparaître en un si peu de temps. Puis, imaginez avec ses conseillers, qui non seulement sont incapables car non formés aux méandres du Pouvoir, si ce n'est s'enrichir, agir en dépit du bon sens et de ce fait occasionnés des dégâts auprès de la population.
Aujourd'hui, il faut que nous travaillons pour remettre le train du pouvoir sur le bon rail, car il est urgent que les Dirigeants et la classe politique trouvent des solutions aux problèmes et aux attentes du Peuple. Monsieur le Président, vous avez le "jeune coq" avec son groupe le MAPAR, qui sont en embuscades , et cette solution vous la connaissez: c'est le recul définitif des Bailleurs de Fonds.
Les vrais problèmes du pays sont l’insécurité, la santé, le délestage, le chômage, l’éducation….. Ecoutez l'ancien Président de la République Didier Ratsiraka, qui s'étonne que votre régime s’active encore sur l'arrivée de Ravalomanana, alors que l'’article 20 de la feuille de route stipule que tous les exilés politiques y compris l'ancien Président peuvent rentrer au pays sans conditions.
Nous reconnaissons que le jour de son arrivée, en son domicile, la déclaration de Ravalomanana montrait une volonté d'en découdre avec le Pouvoir en place. Montrez-vous magnanime, considérez ces paroles comme étant celles d'un homme blessé dans son amour propre et comme aurait dit un certain Jésus, "que celui qui n'a jamais commis d'erreur lui lance la première pierre" et tournez la page.
Précisez à toute la classe politique que vous êtes le Président, élu par le peuple, et que vous n'accepterez plus aucune menace de qui que ce soit, vous gardez votre premier ministre actuel, car nous avons remarqué qu'il a su garder son rôle et faire en sorte que toute décision ne puisse être que de votre fait:
Libérez tout le monde et mettez tout le monde au travail, Fini les polémiques, répondre immédiatement aux souhaits de la population: travailler dans une sécurité renforcée et dans une unité retrouvée: c'est votre Devoir Président.
Il est difficile de faire oublier la Transition dont lui-aussi a fait partie,l’auteur du Putsch de 2009 plane au dessus de lui, parfois directement d'autres fois par personnes interposées, nous devons comprendre que cinq années au service des Putschistes en tant que Grand Argentier,de lourdes responsabilités, ne peuvent disparaître en un si peu de temps. Puis, imaginez avec ses conseillers, qui non seulement sont incapables car non formés aux méandres du Pouvoir, si ce n'est s'enrichir, agir en dépit du bon sens et de ce fait occasionnés des dégâts auprès de la population.
Aujourd'hui, il faut que nous travaillons pour remettre le train du pouvoir sur le bon rail, car il est urgent que les Dirigeants et la classe politique trouvent des solutions aux problèmes et aux attentes du Peuple. Monsieur le Président, vous avez le "jeune coq" avec son groupe le MAPAR, qui sont en embuscades , et cette solution vous la connaissez: c'est le recul définitif des Bailleurs de Fonds.
Les vrais problèmes du pays sont l’insécurité, la santé, le délestage, le chômage, l’éducation….. Ecoutez l'ancien Président de la République Didier Ratsiraka, qui s'étonne que votre régime s’active encore sur l'arrivée de Ravalomanana, alors que l'’article 20 de la feuille de route stipule que tous les exilés politiques y compris l'ancien Président peuvent rentrer au pays sans conditions.
Nous reconnaissons que le jour de son arrivée, en son domicile, la déclaration de Ravalomanana montrait une volonté d'en découdre avec le Pouvoir en place. Montrez-vous magnanime, considérez ces paroles comme étant celles d'un homme blessé dans son amour propre et comme aurait dit un certain Jésus, "que celui qui n'a jamais commis d'erreur lui lance la première pierre" et tournez la page.
Précisez à toute la classe politique que vous êtes le Président, élu par le peuple, et que vous n'accepterez plus aucune menace de qui que ce soit, vous gardez votre premier ministre actuel, car nous avons remarqué qu'il a su garder son rôle et faire en sorte que toute décision ne puisse être que de votre fait:
Libérez tout le monde et mettez tout le monde au travail, Fini les polémiques, répondre immédiatement aux souhaits de la population: travailler dans une sécurité renforcée et dans une unité retrouvée: c'est votre Devoir Président.
