Selon des sources bien renseignées, une délégation de Bacaristes a été reçue aujourd’hui en fin de matinée à Dar Nadjah par Anisse Chamsd...
Selon des sources bien renseignées, une délégation de Bacaristes a été reçue aujourd’hui en fin de matinée à Dar Nadjah par Anisse Chamsdine. Il ne s’agit pas de tirer des conclusions hâtives ; les jours qui viennent seront certainement riches en révélations. On ne peut cependant s’empêcher de mettre en lien cette rencontre avec une série de démarches dans laquelle s’est engagé Anisse Chamsdine. Le 15 janvier, accompagné du fils de Mjamé et de son commissaire aux finances, Dhulkamal Toiliha, ouvriers de la vingt-quatrième heure, dont la proximité avec les milieux séparatistes ne souffre d’aucun contexte, Anisse donne une conférence de presse à Moroni.
La ligne défendue au cours de cette dernière est la suivante : Avant de faire la paix avec les autres, faisons d’abord la paix entre anjouanais, soutiennent nos conférenciers et ils ajoutent : Nourdine Bourhane s’attache, dans une démarche incestueuse, les services des séparatistes qu’il recrute en douce. Nous sommes en revanche dans une démarche de transparence ; nous demandons la bénédiction de la communauté internationale et du pouvoir pour faire revenir à Anjouan les séparatistes réfugiés à Mayotte, à la Réunion et en France. Une démarche oh combien troublante ! C’est vrai qu’à cette époque le Sarkozy anjouanais faisait sa danse. Mais personne ne voyait l’opportunité d’une telle démarche ! On avait juste compris que les proches de Mjamaé autour d’Anisse étaient à l’œuvre. Une question se posait quand même : qui sont ces réfugiés qui se bousculaient au portillon d’Anisse pour retourner dans l’île ? Le Sarkozy anjouanais était déjà aux Comores et d’autres séparatistes qui avaient fui après le débarquement y rentrent tranquillement sans être inquiétés. Le sarkozy anjouanais et Anisse avaient réussi à revivifier un débat qui est dépassé pour les comoriens. On se serait même crû pendant une période aux pires heures sombres de l’épisode séparatiste. Il a fallu l’intervention d’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi pour que cette séquence se referme. Dans une conférence de presse donnée par l’ancien Raïs le 25 mars 2014 dans l’après-midi de la commémoration de cette date, au cours de laquelle Anisse était absent, ce dernier précisa la position du parti au sujet des séparatistes. La justice passe, les coupables avouent leur crime et la réconciliation vient après.
Un élément de plus qui montre qu’Anisse manquait de sincérité envers son parti. Il faut appeler le chat le chat : l’une de rares personnes qui pourraient être intéressée par la démarche d’Anisse et de sa clique, c’est Mjamé ! Ce monsieur ne peut être heureux nulle part au monde qu’aux Comores, à Anjouan où il vivait comme un pacha. Mais que dit cet homme, qui vaut à lui tout seul la population d’Anjouan à propos de l’opération démocratie aux Comores ? Pour lui, Sambi doit être jugé d’agression envers l’Etat d’Anjouan et cette opération est purement illégale. Allez consulter le blog Naragaliwa de Bacharwil ! Vous ne regretterez ! Le pyromane du parti Anisse n’est pas à son premier coup d’essai ; entouré par les séparatistes Abdallah Mohamed, Dhulkamal, le fils de Mjamaé, des gens convaincus d’une vision confédérale des Comores, Anisse tisse sa toile et recrute dans les milieux séparatistes. Sous prétexte de non sectarisme, il a remis en scelle dans la grande indifférence des comoriens ceux qui avaient été les adjuvants de Bacar dans son œuvre de balkanisation des Comores. Pas plus que la semaine dernière, tout à fait par hasard, un de ces chefs milices qui semaient la terreur du temps d’Abeid nous racontait : Anisse est venu en personne chez moi avec ses gardes me rencontrer : officiellement, c’était pour autre chose. Mais on a compris au vu de la teneur de la conversation que c’est la drague des séparatistes. L’annonce du retour de Bacar savamment mise en scène par Kwézi FM est d’entrain de produire ses effets. Anisse ne peut compter sur le soutien de la population qu’il a trahie, et dont il a malmené la volonté avec sa clique : ce héros de la lutte anti-séparatiste tremble comme une feuille morte. Il a perdu ses repères !
Il ne sait plus qui est son allié qui est son ennemi. Tel un rat pris dans un piège, il court dans tous les sens et se cogne violemment contre les parois. Il va peut-être se faire mal avant que le terme fatidique arrive. C’est cela le destin d’un traître. Il ne faut pas exclure que dans les jours qui viennent il fasse la paix sur le dos des comoriens avec son ennemi juré : Nourdine Bourhane. Pourquoi pas ? Qu’est-ce qui peut vous étonner encore ? Celui que l’on présentait comme héros est converti au réalisme politique comme beaucoup d’autres d’ailleurs qui ont connu un crépuscule prématuré. Cet ancien membre du parti JUWA avait un parti à l’intérieur de la formation. C’est le parti des commissaires et des directeurs généraux. Leur tactique : ils sont sambistes avant même que sambi soit né. Beaucoup de ses commissaires m’ont dit : On voit le problème, mais Anisse nous a fait l’honneur de nous NOMMER NOMMER NOMMER. Voilà le programme politique des candidats d’Anisse. J’espère qu’ils vont dire cela aux anjouanais ! Leur argument de campagne.
Le pouvoir gagne toujours les élections. Justement ceux qui disent cela oublient que le vote des régions qui les concernent en 2009 a été annulé par suite de décision de la Cour Constitutionnelle et à cause leurs magouilles, l’opposition comorienne avait demandé l’invalidation de l’élection d’Anisse et d’Iki. J’espère qu’il leur arrivera la même chose cette fois-ci encore. Un des candidats d’Anisse confie que le pouvoir ne laissera pas passer Salami, notre vaillant député à l’assemblée, et c’est la raison de sa candidature. Croyez-vous que des gens comme cela méritent de porter les couleurs du parti JUWA dans une bataille démocratique ? Ils ont leur place dans le mouvement anti-démocratique séparatiste. Anisse va devoir faire face à l’horreur du vide dans les jours qui viennent. Il ne peut plus utiliser notre étiquette, surfer dans la confusion. Trois mois avant le premier tour, c’est un vide abyssal ; il va tournoyer en l’air et bien malin qui pourra dire là où il atterrira. Pour l’instant, il court, il court ! Il court ! La félonie n’est plus un refuge pour lui…
La ligne défendue au cours de cette dernière est la suivante : Avant de faire la paix avec les autres, faisons d’abord la paix entre anjouanais, soutiennent nos conférenciers et ils ajoutent : Nourdine Bourhane s’attache, dans une démarche incestueuse, les services des séparatistes qu’il recrute en douce. Nous sommes en revanche dans une démarche de transparence ; nous demandons la bénédiction de la communauté internationale et du pouvoir pour faire revenir à Anjouan les séparatistes réfugiés à Mayotte, à la Réunion et en France. Une démarche oh combien troublante ! C’est vrai qu’à cette époque le Sarkozy anjouanais faisait sa danse. Mais personne ne voyait l’opportunité d’une telle démarche ! On avait juste compris que les proches de Mjamaé autour d’Anisse étaient à l’œuvre. Une question se posait quand même : qui sont ces réfugiés qui se bousculaient au portillon d’Anisse pour retourner dans l’île ? Le Sarkozy anjouanais était déjà aux Comores et d’autres séparatistes qui avaient fui après le débarquement y rentrent tranquillement sans être inquiétés. Le sarkozy anjouanais et Anisse avaient réussi à revivifier un débat qui est dépassé pour les comoriens. On se serait même crû pendant une période aux pires heures sombres de l’épisode séparatiste. Il a fallu l’intervention d’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi pour que cette séquence se referme. Dans une conférence de presse donnée par l’ancien Raïs le 25 mars 2014 dans l’après-midi de la commémoration de cette date, au cours de laquelle Anisse était absent, ce dernier précisa la position du parti au sujet des séparatistes. La justice passe, les coupables avouent leur crime et la réconciliation vient après.
Un élément de plus qui montre qu’Anisse manquait de sincérité envers son parti. Il faut appeler le chat le chat : l’une de rares personnes qui pourraient être intéressée par la démarche d’Anisse et de sa clique, c’est Mjamé ! Ce monsieur ne peut être heureux nulle part au monde qu’aux Comores, à Anjouan où il vivait comme un pacha. Mais que dit cet homme, qui vaut à lui tout seul la population d’Anjouan à propos de l’opération démocratie aux Comores ? Pour lui, Sambi doit être jugé d’agression envers l’Etat d’Anjouan et cette opération est purement illégale. Allez consulter le blog Naragaliwa de Bacharwil ! Vous ne regretterez ! Le pyromane du parti Anisse n’est pas à son premier coup d’essai ; entouré par les séparatistes Abdallah Mohamed, Dhulkamal, le fils de Mjamaé, des gens convaincus d’une vision confédérale des Comores, Anisse tisse sa toile et recrute dans les milieux séparatistes. Sous prétexte de non sectarisme, il a remis en scelle dans la grande indifférence des comoriens ceux qui avaient été les adjuvants de Bacar dans son œuvre de balkanisation des Comores. Pas plus que la semaine dernière, tout à fait par hasard, un de ces chefs milices qui semaient la terreur du temps d’Abeid nous racontait : Anisse est venu en personne chez moi avec ses gardes me rencontrer : officiellement, c’était pour autre chose. Mais on a compris au vu de la teneur de la conversation que c’est la drague des séparatistes. L’annonce du retour de Bacar savamment mise en scène par Kwézi FM est d’entrain de produire ses effets. Anisse ne peut compter sur le soutien de la population qu’il a trahie, et dont il a malmené la volonté avec sa clique : ce héros de la lutte anti-séparatiste tremble comme une feuille morte. Il a perdu ses repères !
Il ne sait plus qui est son allié qui est son ennemi. Tel un rat pris dans un piège, il court dans tous les sens et se cogne violemment contre les parois. Il va peut-être se faire mal avant que le terme fatidique arrive. C’est cela le destin d’un traître. Il ne faut pas exclure que dans les jours qui viennent il fasse la paix sur le dos des comoriens avec son ennemi juré : Nourdine Bourhane. Pourquoi pas ? Qu’est-ce qui peut vous étonner encore ? Celui que l’on présentait comme héros est converti au réalisme politique comme beaucoup d’autres d’ailleurs qui ont connu un crépuscule prématuré. Cet ancien membre du parti JUWA avait un parti à l’intérieur de la formation. C’est le parti des commissaires et des directeurs généraux. Leur tactique : ils sont sambistes avant même que sambi soit né. Beaucoup de ses commissaires m’ont dit : On voit le problème, mais Anisse nous a fait l’honneur de nous NOMMER NOMMER NOMMER. Voilà le programme politique des candidats d’Anisse. J’espère qu’ils vont dire cela aux anjouanais ! Leur argument de campagne.
Le pouvoir gagne toujours les élections. Justement ceux qui disent cela oublient que le vote des régions qui les concernent en 2009 a été annulé par suite de décision de la Cour Constitutionnelle et à cause leurs magouilles, l’opposition comorienne avait demandé l’invalidation de l’élection d’Anisse et d’Iki. J’espère qu’il leur arrivera la même chose cette fois-ci encore. Un des candidats d’Anisse confie que le pouvoir ne laissera pas passer Salami, notre vaillant député à l’assemblée, et c’est la raison de sa candidature. Croyez-vous que des gens comme cela méritent de porter les couleurs du parti JUWA dans une bataille démocratique ? Ils ont leur place dans le mouvement anti-démocratique séparatiste. Anisse va devoir faire face à l’horreur du vide dans les jours qui viennent. Il ne peut plus utiliser notre étiquette, surfer dans la confusion. Trois mois avant le premier tour, c’est un vide abyssal ; il va tournoyer en l’air et bien malin qui pourra dire là où il atterrira. Pour l’instant, il court, il court ! Il court ! La félonie n’est plus un refuge pour lui…
Par Ahmed BOURHANE