Non seulement il n'exprime ni regrets, ni remords, mais en plus,le pugiliste s'en vante Un drôle de zèbre tout de même, ce Mou...
Non seulement il n'exprime ni regrets, ni remords, mais en plus,le pugiliste s'en vante
Un drôle de zèbre tout de même, ce Mouigni Baraka-là. Oui, un drôle de zèbre. Comment peut-il ne pas l’être alors que quand le dimanche 14 septembre 2014, ses roquets, aboyeurs, groupies et autres accompagnateurs ont fracassé les mâchoires de manifestants pacifiques, il n’a rien fait pour calmer les ardeurs bellicistes de ses troupes, ni calmé le jeu et les esprits, et encore moins présenté des excuses.
Pendant que des Comoriens victimes de son silence complice et de ses encouragements implicites à des pugilistes se faisaient battre comme du plâtre, le Gouverneur de la Grande-Comore avait gardé une impassibilité de tête de Bouddha. Ce qui est franchement dégoûtant et scandaleux, surtout quand on sait que son équipée en France avait été financée par l’argent de l’État. Ce qui est encore plus dégoûtant, c’est que, pendant que des Comoriens et des Comoriennes se faisaient soigner dans les hôpitaux parisiens et de la Région parisiens pour coups et blessures causés par les barakistes et barakiens, le Commissaire qui assurait l’intérim de notre boxeur-catcheur national au Gouvernorat de la Grande-Comore affichait une fausse sérénité, allant jusqu’à prétendre hypocritement que le voyage qu’effectuait son irascible et incommode chef en France était une belle promenade de santé.
Plus grave encore, Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka», «Mouigni-les-problèmes» ou «Mouigni le Problématique», en rajoute et se moque de tous ceux qui ont une la mâchoire fracassée par sa faute pour avoir, dans la salle d’Aubervilliers où il tenait son inutile meeting le dimanche 14 septembre, brandi des papiers A4 sur lesquels étaient répertoriés différents problèmes affectant non seulement la Grande-Comore, mais tout le pays. Mouigni Baraka en rajoute parce qu’au lieu de présenter des excuses publiques, dit à tous ceux qui lui parlent de son match de boxe-catch: «Ha! Qu’est-ce qu’ils croient, ces jaloux et aigris, qu’ils pouvaient perturber mon meeting en toute impunité et aller s’en vanter, qu’ils pouvaient m’insulter et humilier en public?
Alors, les Ntsoudjiniens, en véritables descendants des Inya Foimbaya, se sont vengés de l’un des leurs, moi! Maintenant, tous les jaloux et grincheux vont se tenir à carreau car ils ont constaté à leurs dépens la solidarité des Inya Foimbaya entre eux. Maintenant, avant de s’en prendre à ma personne, on réfléchira très bien car la leçon est très claire: les miens ne laisseront personne m’humilier. À Aubervilliers, ce qui devait être fait a été très bien fait, et j’en suis très fier, même si je ne peux pas le crier sur les toits». Ces propos sont authentiques et ont été tenus par Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» devant différentes personnes en France et aux Comores.
Dans la foulée, mon frère bien-aimé le Député Djaé Ahamada Chanfi a, lui aussi, perdu une belle occasion de se taire, car il prétend crânement que les «papetiers» d’Aubervilliers étaient hors-sujet en évoquant des sujets qui faisaient déjà l’objet du meeting du boxeur-catcheur: «Si ces jeunes étaient là depuis le début, ils auraient su qu’on a parlé des sujets relatifs à leurs revendications».
Incorrigible, Djaé Ahamada Chanfi, qui refuse de comprendre que les Comoriens ne veulent rien savoir de «sujets» affectant les Comoriens aux Comores que des incapables corrompus ne font qu’évoquer dans une salle de fête en France, mais de solutions concrètes. Or, sur ce chapitre, on est très loin du compte car aucune solution n’est proposée par le boxeur-catcheur et sa troupe du Gouvernorat de la Grande-Comore.
Un drôle de zèbre tout de même, ce Mouigni Baraka-là. Oui, un drôle de zèbre. Comment peut-il ne pas l’être alors que quand le dimanche 14 septembre 2014, ses roquets, aboyeurs, groupies et autres accompagnateurs ont fracassé les mâchoires de manifestants pacifiques, il n’a rien fait pour calmer les ardeurs bellicistes de ses troupes, ni calmé le jeu et les esprits, et encore moins présenté des excuses.
Pendant que des Comoriens victimes de son silence complice et de ses encouragements implicites à des pugilistes se faisaient battre comme du plâtre, le Gouverneur de la Grande-Comore avait gardé une impassibilité de tête de Bouddha. Ce qui est franchement dégoûtant et scandaleux, surtout quand on sait que son équipée en France avait été financée par l’argent de l’État. Ce qui est encore plus dégoûtant, c’est que, pendant que des Comoriens et des Comoriennes se faisaient soigner dans les hôpitaux parisiens et de la Région parisiens pour coups et blessures causés par les barakistes et barakiens, le Commissaire qui assurait l’intérim de notre boxeur-catcheur national au Gouvernorat de la Grande-Comore affichait une fausse sérénité, allant jusqu’à prétendre hypocritement que le voyage qu’effectuait son irascible et incommode chef en France était une belle promenade de santé.
Plus grave encore, Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka», «Mouigni-les-problèmes» ou «Mouigni le Problématique», en rajoute et se moque de tous ceux qui ont une la mâchoire fracassée par sa faute pour avoir, dans la salle d’Aubervilliers où il tenait son inutile meeting le dimanche 14 septembre, brandi des papiers A4 sur lesquels étaient répertoriés différents problèmes affectant non seulement la Grande-Comore, mais tout le pays. Mouigni Baraka en rajoute parce qu’au lieu de présenter des excuses publiques, dit à tous ceux qui lui parlent de son match de boxe-catch: «Ha! Qu’est-ce qu’ils croient, ces jaloux et aigris, qu’ils pouvaient perturber mon meeting en toute impunité et aller s’en vanter, qu’ils pouvaient m’insulter et humilier en public?
Alors, les Ntsoudjiniens, en véritables descendants des Inya Foimbaya, se sont vengés de l’un des leurs, moi! Maintenant, tous les jaloux et grincheux vont se tenir à carreau car ils ont constaté à leurs dépens la solidarité des Inya Foimbaya entre eux. Maintenant, avant de s’en prendre à ma personne, on réfléchira très bien car la leçon est très claire: les miens ne laisseront personne m’humilier. À Aubervilliers, ce qui devait être fait a été très bien fait, et j’en suis très fier, même si je ne peux pas le crier sur les toits». Ces propos sont authentiques et ont été tenus par Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» devant différentes personnes en France et aux Comores.
Dans la foulée, mon frère bien-aimé le Député Djaé Ahamada Chanfi a, lui aussi, perdu une belle occasion de se taire, car il prétend crânement que les «papetiers» d’Aubervilliers étaient hors-sujet en évoquant des sujets qui faisaient déjà l’objet du meeting du boxeur-catcheur: «Si ces jeunes étaient là depuis le début, ils auraient su qu’on a parlé des sujets relatifs à leurs revendications».
Incorrigible, Djaé Ahamada Chanfi, qui refuse de comprendre que les Comoriens ne veulent rien savoir de «sujets» affectant les Comoriens aux Comores que des incapables corrompus ne font qu’évoquer dans une salle de fête en France, mais de solutions concrètes. Or, sur ce chapitre, on est très loin du compte car aucune solution n’est proposée par le boxeur-catcheur et sa troupe du Gouvernorat de la Grande-Comore.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Jeudi 19 septembre 2014.
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