Lettre ouverte Au Procureur Général de Moroni Comores Objet: des détournements sans détourneurs: holdup manifeste du droit Victimisati...
Lettre ouverte Au Procureur Général de Moroni Comores
Objet: des détournements sans détourneurs:
Références: procès bafoués, inachevé, étouffés.
Monsieur le Procureur,
Le FARP a l’honneur de rappeler l’indécence de la Justice Comorienne pour ne pas parler de complicité active aberrante. Il est inqualifiable qu’avec autant de transactions mafieuses qui injurient et appauvrissent l’État Comorien, il n’y ait aucune action concluante de la Justice comorienne, une Justice qui se replie sur soi:
Peut-on parler d’une Justice comorienne en faillite, une Justice réduite à se plaindre de manquement de moyens comme si la culpabilité d’un malfaiteur exige que le Juge soit enrichi par l’Etat pour pouvoir lire et appliquer le code pénal?
Comment comprendre que sans moyens comme le prétende la Justice, le Juge comorien se mobilise pour déculpabiliser tout en se plaignant de ne pouvoir culpabiliser?
Comment comprendre notre Justice comorienne championne d’ouvertures d’instructions, de placements sous mandats de dépôts pour qu’il n’y aient jamais de procès?
Comment comprendre que les seuls jugements rendus par la Justice comorienne se résument en des mises en liberté provisoires des inculpés en flagrant délits encore?
Le peuple comorien a besoin de comprendre:
1. Les mandats des Parlements National et Insulaire sont déchus, la Justice prétend que c’est à la Cour Constitutionnelle d’agir.
2. Le mandat du Président Ikililou échoit, la Justice prétend que c’est la faute à l’Accord de Fomboni.
3. La Citoyenneté comorienne et les passeports comoriens commettent des attentats à travers le monde, et la Justice comorienne se dépolie à justifier que la comptabilité des passeports émis est bonne et les signataires de ces passeports cruels se trouvent blanchis.
5. La Société Comores Télécom mise en liquidation, allant jusqu’ à la mise aux enchères du Code du Pays, le 269, et la Justice de libérer les inculpés, de les lavés de tout, prétextant que ce sont des factures impayées qui sont à l’origine de la déroute.
6. Mamwé ( Société d’électricité des Comores) n’allume plus, toutes les lampes sont éteintes, mais la Justice prétend qu’il s’agit d’un court circuit, mais que les ex- dirigeants de Mamwé sont des plus honnêtes;
7. Comores Hydrocarbures en récession, mais la Justice explique que c’est la faute de l’évaporation.
8. Des recettes des Douanes en divagation, mais la Justice prétend que c’est plutôt des produits péris non taxables enlevés des dépôts et non des détournements de recettes douanières.
9. Colonel Combo fusillé, la Justice prétend que c’est un tir inconnu à partir d’un bateau hors zone Comores.
10. Docteur Assad empoisonné, la Justice prétend qu’il a mangé un repas intoxiqué.
11. Bagoulam s’étend avec un morceau de maïs à la main, la Justice prétend que c’était du maïs mal conservé.
12. On diligente des débarquements et on tue, handicap à vie; la Justice prétend que le premier article du Code pénal Comorien est très explicite: le président de la République est inamovible et tous les crimes qu’ils diligentent sont prescrits par la Loi comorienne.
13. L’Ambassade d’Iran exproprie des nationaux comoriens au Sud de Moroni, la Justice prétend que l’expropriation est juridique et ce, au nom de la Diplomatie Chiite et au nom de l’amitié qui lie l’Iran à l’ancien Chiite président Sambi pour avoir été formé en Iran et surtout pour avoir encaissé des financements de mosquées Chiites aux Comores jamais construits.
Monsieur le Procureur, Comment expliquez-vous que:
i. des médecins statuent sur des conformités de fournitures de Comores Télécom au lieu de statuer sur des médicaments de souffrants à El Maarouf?
ii. Des professeurs d’Éducation physique qui assoient l’assiette des Impôts aux Comores au lieu d’emmener les enfants au stade?
iii. Des facteurs qui ne distribuent pas des courriers postaux mais qui statuent en dernier ressort sur la constitutionnalité d’actes législatifs et Administratifs?
Le Bureau Exécutif du FARP
Objet: des détournements sans détourneurs:
- holdup manifeste du droit
- Victimisation de l’État Comorien par la Justice
Références: procès bafoués, inachevé, étouffés.
Monsieur le Procureur,
Le FARP a l’honneur de rappeler l’indécence de la Justice Comorienne pour ne pas parler de complicité active aberrante. Il est inqualifiable qu’avec autant de transactions mafieuses qui injurient et appauvrissent l’État Comorien, il n’y ait aucune action concluante de la Justice comorienne, une Justice qui se replie sur soi:
Peut-on parler d’une Justice comorienne en faillite, une Justice réduite à se plaindre de manquement de moyens comme si la culpabilité d’un malfaiteur exige que le Juge soit enrichi par l’Etat pour pouvoir lire et appliquer le code pénal?
Comment comprendre que sans moyens comme le prétende la Justice, le Juge comorien se mobilise pour déculpabiliser tout en se plaignant de ne pouvoir culpabiliser?
Comment comprendre notre Justice comorienne championne d’ouvertures d’instructions, de placements sous mandats de dépôts pour qu’il n’y aient jamais de procès?
Comment comprendre que les seuls jugements rendus par la Justice comorienne se résument en des mises en liberté provisoires des inculpés en flagrant délits encore?
Le peuple comorien a besoin de comprendre:
1. Les mandats des Parlements National et Insulaire sont déchus, la Justice prétend que c’est à la Cour Constitutionnelle d’agir.
2. Le mandat du Président Ikililou échoit, la Justice prétend que c’est la faute à l’Accord de Fomboni.
3. La Citoyenneté comorienne et les passeports comoriens commettent des attentats à travers le monde, et la Justice comorienne se dépolie à justifier que la comptabilité des passeports émis est bonne et les signataires de ces passeports cruels se trouvent blanchis.
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4. Le pavillon comorien bat à bord de bateaux arraisonnés pour transport d’armes et drogues, et la Justice d’innocenter les inculpés et en prétendant que ce sont des morceaux de tissus cousus par les trafiquants et qui n’ont aucun lien avec des responsables comoriens.5. La Société Comores Télécom mise en liquidation, allant jusqu’ à la mise aux enchères du Code du Pays, le 269, et la Justice de libérer les inculpés, de les lavés de tout, prétextant que ce sont des factures impayées qui sont à l’origine de la déroute.
6. Mamwé ( Société d’électricité des Comores) n’allume plus, toutes les lampes sont éteintes, mais la Justice prétend qu’il s’agit d’un court circuit, mais que les ex- dirigeants de Mamwé sont des plus honnêtes;
7. Comores Hydrocarbures en récession, mais la Justice explique que c’est la faute de l’évaporation.
8. Des recettes des Douanes en divagation, mais la Justice prétend que c’est plutôt des produits péris non taxables enlevés des dépôts et non des détournements de recettes douanières.
9. Colonel Combo fusillé, la Justice prétend que c’est un tir inconnu à partir d’un bateau hors zone Comores.
10. Docteur Assad empoisonné, la Justice prétend qu’il a mangé un repas intoxiqué.
11. Bagoulam s’étend avec un morceau de maïs à la main, la Justice prétend que c’était du maïs mal conservé.
12. On diligente des débarquements et on tue, handicap à vie; la Justice prétend que le premier article du Code pénal Comorien est très explicite: le président de la République est inamovible et tous les crimes qu’ils diligentent sont prescrits par la Loi comorienne.
13. L’Ambassade d’Iran exproprie des nationaux comoriens au Sud de Moroni, la Justice prétend que l’expropriation est juridique et ce, au nom de la Diplomatie Chiite et au nom de l’amitié qui lie l’Iran à l’ancien Chiite président Sambi pour avoir été formé en Iran et surtout pour avoir encaissé des financements de mosquées Chiites aux Comores jamais construits.
Monsieur le Procureur, Comment expliquez-vous que:
i. des médecins statuent sur des conformités de fournitures de Comores Télécom au lieu de statuer sur des médicaments de souffrants à El Maarouf?
ii. Des professeurs d’Éducation physique qui assoient l’assiette des Impôts aux Comores au lieu d’emmener les enfants au stade?
iii. Des facteurs qui ne distribuent pas des courriers postaux mais qui statuent en dernier ressort sur la constitutionnalité d’actes législatifs et Administratifs?
Le Bureau Exécutif du FARP