Océan indien ! L'indépendance inachevée de l'archipel des Comores, engendre la maudite soumission au désespoir. il faut un espoir n...
Océan indien ! L'indépendance inachevée de l'archipel des Comores, engendre la maudite soumission au désespoir. il faut un espoir nouveau.
39 ans après l’indépendance des Comores, le constat : Même si le manteau de la tectonique des plaques subisse une interaction convergente rapprochant et recollant les quatre îles de l'archipel des Comores en un bloc, le problème de l'unité nationale persisterait entier. Pourquoi ? Parce que le vivre ensemble fait un grand défaut, qu'il n'y aurait que deux solutions pour résoudre la question de Mayotte : La Guerre ou la Diplomatie.
On ne va jusqu'à l'espérance qu'à travers la vérité, au prix de grands efforts. Autant on ne demande pas la danse qu'aux danseurs, la diplomatie aux diplomates ; autant on attend le chimérique aux chimères, les "yoyos" et les applaudissements sans suite aux populistes. À ce rythme, tant pis pour le peuple comorien qui tousse et qui toussera encore dans l'attente misérable d'un résultat qui risque ne jamais venir. En 2014 on ne peut qu'espérer malgré l'âge de notre nation « 39 ans ». C'est dommage. Ça ne fait pas sérieux quand on a 39 ans et qu'on reste dans l'espérance sans un réel projet bien défini. Sur cette question de Mayotte, le désespoir reste toujours notre soumission. Que faire ? Arrêtons l'arrogance, demandons la danse aux danseurs. Abandonnons l'esprit de l'ego et demandons les fruits de la diplomatie aux diplomates. Quand on est colonisé comme nous par le désespoir, le devoir n°1 est de partir à la conquête de l'espoir en ayant en tête, que le désespoir est aussi une soumission.
39 ans après, beaucoup on passé leur temps à crier, râler... etc., sans grand espoir d'être entendus. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous n'avions ni puissance ni stratégie pour se faire entendre. À moins de considérer que se faire entendre, veut dire : faire un grand bruit populiste et hypocrite comme à la 65ème Assemblée Générale de l'ONU. Pour quel résultat ?
Un avancé considérable par apport à 2010 sur la question de Mayotte.
Le Gouvernement Ikililou Dhoinine a trouvé un point stratégique pour se faire entendre [le 4ème sommet COI, du 26 juillet 2014]
Se faire entendre ! Ce sésame qui nous manquait tant, il fallait demander la danse aux danseurs. Cette stratégie qui faisait défaut jusqu'ici, il fallait la demander aux stratèges. Ce problème semble trouver la solution adéquate. Oui, c'est la danse du danseur. Oui, c'est la diplomatie du diplomate. "n'en déplaise à certains". En ce moment précis, nous pensons tenir plus que jamais une bride d'espace, un espace qu'on peut parler et être entendu à coup sur. Il faudra créer ici et maintenant, l'ordre juste d'un espoir nouveau. à l'Organisation des Nations unies (ONU), comme à l'Union Africaine (UA) et à l' Organisation internationale de la francophonie (OIF), le gouvernement comorien pouvait faire des bruits comme le bidon vide sans pour autant se faire entendre. Oui, « SE FAIRE ENTENDRE »! Ce sésame qui nous manquait tant, reste la clé de voûte de notre espoir et de notre raison d'y croire. Cette stratégie qui faisait défaut en Union des Comores, il fallait l'attendre des personnes stratèges et non des Gueulards. Un peu comme dans l'armée ! Car on nous dit que :"La valeur d'un général réside dans sa stratégie et non dans son courage". Certes cette chose "diplomatie" est fort peu compatible avec la précipitation, mais, nous n'avons que deux options : La Guerre ou la Diplomatie.
En tout cas, en ce moment précis, nous pensons tenir plus que jamais une bride d'espace, un espace qu'on peut parler et être entendu à coup certain. Cet espace s'appelle le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Région Océan Indien. Ce sommet de la commission de l'Océan indien, reste l'unique lieu où les Comores peuvent se faire entendre sans faire de bruit. À mon sens, le 26 juillet 2014, le Gouvernement Ikililou Dhoinine, peut créer l'ordre d'un espoir nouveau. Soutenons et encourageons le président et son gouvernement, pour que ce sommet nous apporte des fruits. La Naissance d'un Espoir Nouveau, c'est maintenant ! inchallah...
Mrimdu
39 ans après l’indépendance des Comores, le constat : Même si le manteau de la tectonique des plaques subisse une interaction convergente rapprochant et recollant les quatre îles de l'archipel des Comores en un bloc, le problème de l'unité nationale persisterait entier. Pourquoi ? Parce que le vivre ensemble fait un grand défaut, qu'il n'y aurait que deux solutions pour résoudre la question de Mayotte : La Guerre ou la Diplomatie.
On ne va jusqu'à l'espérance qu'à travers la vérité, au prix de grands efforts. Autant on ne demande pas la danse qu'aux danseurs, la diplomatie aux diplomates ; autant on attend le chimérique aux chimères, les "yoyos" et les applaudissements sans suite aux populistes. À ce rythme, tant pis pour le peuple comorien qui tousse et qui toussera encore dans l'attente misérable d'un résultat qui risque ne jamais venir. En 2014 on ne peut qu'espérer malgré l'âge de notre nation « 39 ans ». C'est dommage. Ça ne fait pas sérieux quand on a 39 ans et qu'on reste dans l'espérance sans un réel projet bien défini. Sur cette question de Mayotte, le désespoir reste toujours notre soumission. Que faire ? Arrêtons l'arrogance, demandons la danse aux danseurs. Abandonnons l'esprit de l'ego et demandons les fruits de la diplomatie aux diplomates. Quand on est colonisé comme nous par le désespoir, le devoir n°1 est de partir à la conquête de l'espoir en ayant en tête, que le désespoir est aussi une soumission.
39 ans après, beaucoup on passé leur temps à crier, râler... etc., sans grand espoir d'être entendus. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous n'avions ni puissance ni stratégie pour se faire entendre. À moins de considérer que se faire entendre, veut dire : faire un grand bruit populiste et hypocrite comme à la 65ème Assemblée Générale de l'ONU. Pour quel résultat ?
Un avancé considérable par apport à 2010 sur la question de Mayotte.
Le Gouvernement Ikililou Dhoinine a trouvé un point stratégique pour se faire entendre [le 4ème sommet COI, du 26 juillet 2014]
Se faire entendre ! Ce sésame qui nous manquait tant, il fallait demander la danse aux danseurs. Cette stratégie qui faisait défaut jusqu'ici, il fallait la demander aux stratèges. Ce problème semble trouver la solution adéquate. Oui, c'est la danse du danseur. Oui, c'est la diplomatie du diplomate. "n'en déplaise à certains". En ce moment précis, nous pensons tenir plus que jamais une bride d'espace, un espace qu'on peut parler et être entendu à coup sur. Il faudra créer ici et maintenant, l'ordre juste d'un espoir nouveau. à l'Organisation des Nations unies (ONU), comme à l'Union Africaine (UA) et à l' Organisation internationale de la francophonie (OIF), le gouvernement comorien pouvait faire des bruits comme le bidon vide sans pour autant se faire entendre. Oui, « SE FAIRE ENTENDRE »! Ce sésame qui nous manquait tant, reste la clé de voûte de notre espoir et de notre raison d'y croire. Cette stratégie qui faisait défaut en Union des Comores, il fallait l'attendre des personnes stratèges et non des Gueulards. Un peu comme dans l'armée ! Car on nous dit que :"La valeur d'un général réside dans sa stratégie et non dans son courage". Certes cette chose "diplomatie" est fort peu compatible avec la précipitation, mais, nous n'avons que deux options : La Guerre ou la Diplomatie.
En tout cas, en ce moment précis, nous pensons tenir plus que jamais une bride d'espace, un espace qu'on peut parler et être entendu à coup certain. Cet espace s'appelle le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Région Océan Indien. Ce sommet de la commission de l'Océan indien, reste l'unique lieu où les Comores peuvent se faire entendre sans faire de bruit. À mon sens, le 26 juillet 2014, le Gouvernement Ikililou Dhoinine, peut créer l'ordre d'un espoir nouveau. Soutenons et encourageons le président et son gouvernement, pour que ce sommet nous apporte des fruits. La Naissance d'un Espoir Nouveau, c'est maintenant ! inchallah...
Mrimdu