Depuis un certain temps, certaines autorités et parties françaises s'activent à vouloir attenter à l'excellence des relations d...
Depuis un certain temps, certaines autorités et parties françaises s'activent à vouloir attenter à l'excellence des relations d'amitiés séculaires qui existent entre le Royaume du Maroc et la République Française.
Dernier grave incident en date, celui vécu à l'Hôpital Militaire du Val de Grâce à Paris où est hospitalisé le Général Bennani.
En effet, le 18 juin 2018, le dénommé Adib, ancien militaire marocain, installé en France, a réussi à pénétrer dans le Sacro Saint d'une institution militaire pour proférer des insultes à l'encontre des membres de la famile du Général Bennani et tenter de s'introduire de force dans sa chambre.
Un acte d'une extrême gravité vu qu'il a été perpétré au sein d'une Institution Militaire hautement sécurisée et devant témoins.
Une défaillance sécuritaire qui dénote un laxisme flagrant des autorités en charge de la sécurité du pays, notamment quand on sait que des soldats français blessés en Afghanistan, au Mali et en Centrafrique ainsi que de nombreuses personnalités françaises et étrangères y sont hospitalisés.
C'est pourquoi l'hypothèse d'une complicité de certaines parties françaises et de certains opposants marocains connus pour leur hostilité envers le Maroc et conduits par un certain prince, qu'il est inutile de nommer, semble la plus plausible.
Cette lâche agression a bien évidemment suscité une vive réaction des autorités marocaines.
C'est ainsi, que le Chef des Services de Renseignement Extérieur marocain a convoqué l'Ambassadeur français pour lui signifier fermement le vif mécontentement du Royaume du Maroc suite à cet acte odieux, provocateur et injurieux.
L'Ambassadeur marocain en France en a fait de même auprès du Quai d'Orsay.
A signaler que ce nouvel incident vient s'ajouter aux nombreux autres qui ont émaillé les relations franco-marocaines ces dernières années et risque de bloquer durablement toute tentative de normalisation des relations bilatérales.
Il est clair qu'en France, des anti-marocains infiltrés dans les institutions françaises s'activent à empoisonner au maximum la crise entre les deux pays et à profiter de chaque opportunité pour cracher leur venin contre les institutions marocaines et ce, sans que les autorités françaises ne réagissent.
Le Maroc a rappelé à multiples reprises son attachement à la qualité des relations historiques et profondes avec la France. Des relations empreintes de respect mutuel et de dignité.
C'est pourquoi, aujourd'hui, avec ce nouvel incident, le Royaume du Maroc et le peuple marocain, unanime derrière son Roi, ne peut en aucun cas accepter que de tels agissements puissent se poursuivre impunément.
Le Maroc ne se contentera pas des sincères émotions exprimées par les autorités françaises. Il exige des actes concrets à la mesure de l'acte grave qui a été commis par cet ex-militaire marocain dit Adib à savoir des sanctions pénales et civiles à son encontre et contre ses soutiens en France ou ailleurs.
Ce n'est plus la coopération judiciaire qui est en jeu, mais toute la coopération bilatérale, notamment sécuritaire, qui risque d'être remise en cause.
Je rappellerai aux responsables socialistes, que François Mitterand avait tenté, dès son élection en 1981, de saborder les relations franco-marocaines avec la complicité de son épouse, Danielle Mitterand, de Lionel Jospin, alors Secrétaire Général du PS, et du quotidien Le Monde. Ils ont compris la ferme réaction de feu Sa Majesté Hassan II et se sont empressés de venir au Maroc en janvier 1983.
Il semblerait que l'histoire soit têtue, ou plutôt ceux sont les responsables socialistes qui n'ont toujours pas compris la relation particulière qui unit le Maroc à la France.
Farid Mnebhi.
Dernier grave incident en date, celui vécu à l'Hôpital Militaire du Val de Grâce à Paris où est hospitalisé le Général Bennani.
En effet, le 18 juin 2018, le dénommé Adib, ancien militaire marocain, installé en France, a réussi à pénétrer dans le Sacro Saint d'une institution militaire pour proférer des insultes à l'encontre des membres de la famile du Général Bennani et tenter de s'introduire de force dans sa chambre.
Un acte d'une extrême gravité vu qu'il a été perpétré au sein d'une Institution Militaire hautement sécurisée et devant témoins.
Une défaillance sécuritaire qui dénote un laxisme flagrant des autorités en charge de la sécurité du pays, notamment quand on sait que des soldats français blessés en Afghanistan, au Mali et en Centrafrique ainsi que de nombreuses personnalités françaises et étrangères y sont hospitalisés.
C'est pourquoi l'hypothèse d'une complicité de certaines parties françaises et de certains opposants marocains connus pour leur hostilité envers le Maroc et conduits par un certain prince, qu'il est inutile de nommer, semble la plus plausible.
Cette lâche agression a bien évidemment suscité une vive réaction des autorités marocaines.
C'est ainsi, que le Chef des Services de Renseignement Extérieur marocain a convoqué l'Ambassadeur français pour lui signifier fermement le vif mécontentement du Royaume du Maroc suite à cet acte odieux, provocateur et injurieux.
L'Ambassadeur marocain en France en a fait de même auprès du Quai d'Orsay.
A signaler que ce nouvel incident vient s'ajouter aux nombreux autres qui ont émaillé les relations franco-marocaines ces dernières années et risque de bloquer durablement toute tentative de normalisation des relations bilatérales.
Il est clair qu'en France, des anti-marocains infiltrés dans les institutions françaises s'activent à empoisonner au maximum la crise entre les deux pays et à profiter de chaque opportunité pour cracher leur venin contre les institutions marocaines et ce, sans que les autorités françaises ne réagissent.
Le Maroc a rappelé à multiples reprises son attachement à la qualité des relations historiques et profondes avec la France. Des relations empreintes de respect mutuel et de dignité.
C'est pourquoi, aujourd'hui, avec ce nouvel incident, le Royaume du Maroc et le peuple marocain, unanime derrière son Roi, ne peut en aucun cas accepter que de tels agissements puissent se poursuivre impunément.
Le Maroc ne se contentera pas des sincères émotions exprimées par les autorités françaises. Il exige des actes concrets à la mesure de l'acte grave qui a été commis par cet ex-militaire marocain dit Adib à savoir des sanctions pénales et civiles à son encontre et contre ses soutiens en France ou ailleurs.
Ce n'est plus la coopération judiciaire qui est en jeu, mais toute la coopération bilatérale, notamment sécuritaire, qui risque d'être remise en cause.
Je rappellerai aux responsables socialistes, que François Mitterand avait tenté, dès son élection en 1981, de saborder les relations franco-marocaines avec la complicité de son épouse, Danielle Mitterand, de Lionel Jospin, alors Secrétaire Général du PS, et du quotidien Le Monde. Ils ont compris la ferme réaction de feu Sa Majesté Hassan II et se sont empressés de venir au Maroc en janvier 1983.
Il semblerait que l'histoire soit têtue, ou plutôt ceux sont les responsables socialistes qui n'ont toujours pas compris la relation particulière qui unit le Maroc à la France.
Farid Mnebhi.