Une inquiétante génération, ma génération ! Notre quête du bonheur nous condamne à l'inquiétude ? Oui, on arrive souvent à se mettr...
Une inquiétante génération, ma génération ! Notre quête du bonheur nous condamne à l'inquiétude ?
Oui, on arrive souvent à se mettre d'accord sur l'urgence de s'inquiéter, mais très rarement sur les motifs de cette inquiétude. Oui, notre génération inquiète plus que la génération dite " des dinosaures ".
Ma génération est garée devant la gare de l'Est ! C'est à dire qu'elle se loge dans l'inquiétude. 36 ans après Ali Soilihi Mtsashiwa, il est quasi certain que si on organise un match (un débat d'idées) entre les messieurs de "la république des imberbes" [1975-1978] et notre génération, cette dernière serait battue par KO dans tous les domaines (sauf qu'en 2014 nos tiroirs sont remplis des diplômes des grandes écoles). Est-ce que cela nous honore ? Non. Alors oui, à un moment il faut savoir se remettre en cause. J'appelle donc mes collègues (sites, blogs et réseaux sociaux) pour relancer ce débat. « ritsi do lela wuvundo ».
Pour se faire, la tâche est peut-être plus grande, car elle consiste d'abord à démolir, dans les têtes de la classe appelée à l'action, les préjugés semés par la classe régnante, mais aussi et surtout à rehausser notre intelligence qui s'est abaissée jusqu'à se faire la servante de la haine et de l'oppression. Oui, la tâche est peut-être plus grande car nous avons comme mission : bannir cette histoire corrompue où se mêlent les révolutions déchues, l'égocentrisme et l'hypocrisie.
Si chaque génération comorienne, se croit vouée à refaire le monde, la mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. La mienne sait pourtant qu'elle serait battue par « K.O » par les messieurs de "la république des imberbes " de [1975-1978] par exemple. Il suffit de lire les rares arguments des uns et des autres Pour se rendre compte complètement des différences existantes entre notre génération et les anciens que nous appelons « les dinosaures ». Je suis tellement désolé, mais je le dis car je le pense : face à eux force est de constater que notre génération manque d'idées, elle manque d'arguments, de vision, de stratégie… bref, elle manque de tout ou presque. Du coup ! Nous avons peur d'eux « les dinos » et pour déguiser cette peur on se réfugie aux insultes comme les adolescents. Pourtant nous avons tous les armes, nos tiroirs sont remplis de diplômes...
Oui, on arrive souvent à se mettre d'accord sur l'urgence de s'inquiéter, mais très rarement sur les motifs de cette inquiétude. Oui, notre génération inquiète plus que la génération dite " des dinosaures ".
Ma génération est garée devant la gare de l'Est ! C'est à dire qu'elle se loge dans l'inquiétude. 36 ans après Ali Soilihi Mtsashiwa, il est quasi certain que si on organise un match (un débat d'idées) entre les messieurs de "la république des imberbes" [1975-1978] et notre génération, cette dernière serait battue par KO dans tous les domaines (sauf qu'en 2014 nos tiroirs sont remplis des diplômes des grandes écoles). Est-ce que cela nous honore ? Non. Alors oui, à un moment il faut savoir se remettre en cause. J'appelle donc mes collègues (sites, blogs et réseaux sociaux) pour relancer ce débat. « ritsi do lela wuvundo ».
Pour se faire, la tâche est peut-être plus grande, car elle consiste d'abord à démolir, dans les têtes de la classe appelée à l'action, les préjugés semés par la classe régnante, mais aussi et surtout à rehausser notre intelligence qui s'est abaissée jusqu'à se faire la servante de la haine et de l'oppression. Oui, la tâche est peut-être plus grande car nous avons comme mission : bannir cette histoire corrompue où se mêlent les révolutions déchues, l'égocentrisme et l'hypocrisie.
« L'éternel recommencement ! »
Si chaque génération comorienne, se croit vouée à refaire le monde, la mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. La mienne sait pourtant qu'elle serait battue par « K.O » par les messieurs de "la république des imberbes " de [1975-1978] par exemple. Il suffit de lire les rares arguments des uns et des autres Pour se rendre compte complètement des différences existantes entre notre génération et les anciens que nous appelons « les dinosaures ». Je suis tellement désolé, mais je le dis car je le pense : face à eux force est de constater que notre génération manque d'idées, elle manque d'arguments, de vision, de stratégie… bref, elle manque de tout ou presque. Du coup ! Nous avons peur d'eux « les dinos » et pour déguiser cette peur on se réfugie aux insultes comme les adolescents. Pourtant nous avons tous les armes, nos tiroirs sont remplis de diplômes...
Chers internautes, notre génération est au mieux : une génération peureuse, avare, chiche…, quand il est question de proposer une idée pour avancer. Par contre elle est : brutale, loufoque, extravagante et orgueilleuse, quand il est question d'insulter l'autre. L'intelligence de la jeunesse comorienne s'est abaissée à ce niveau jusqu'à se faire la servante de la haine et de l'oppression.
Bah ! « ribulââ Mwandzé » , les médiocres pouvoirs peuvent aujourd'hui tout détruire, car après tout, ce n'est pas la servante de la haine qui inquiétera ceux qui font la pluie et le beau temps avec des propositions insensées ? du gouvernement Ikililou Dhoinine. Pour inquiéter une proposition aussi modeste soit-elle, il faut absolument proposer une autre.
Chers lecteurs et lectrices, avant de tirer vos boulets sur moi, je vous rappelle notre terrain d'entraînement : aux Comores, la misère est notre Canon, nos idées et nos arguments , nos propositions et nos photographies anticipées de l'avenir sont les boulets qu'il faut tirer pour chasser les corrompus qui saignent nos 4 veines.
N'oubliez pas quand vous allez tirez sur moi, d'utiliser « les boulets » c'est-à-dire les idées et les propositions, car après tout celui qui s'oppose propose. une opposition sans proposition n'est qu'un mouvement d'humeur conduit par des rigolos. Sommes-nous des rigolos ? Non. Alors sortez vos idées de vos tiroirs…
Comme disait Émile Zola : « Ma protestation enflammée n'est que le cri de mon âme. Qu'on ose donc me traduire en cour d'assises et que l'enquête ait lieu au grand jour ! J'attends », mais, utilisez au moins une idée comme obus…
Mrimdu