Quand on parle de violences conjugales , on imagine souvent les hommes bourreaux et les femmes souffre-douleur. Et dans la plupart des ca...
Quand on parle de violences conjugales
, on imagine souvent les hommes bourreaux et les femmes souffre-douleur.
Et dans la plupart des cas, le schéma est correct. Mais on a tendance à
oublier qu’une victime sur trois de ces violences est un homme, selon
l’observatoire nationale de la délinquance.
Pour rendre compte de cette réalité souvent moquée et prise à la légère, un organisme anglais de soutien aux hommes violentés « ManKind », a mis en ligne une vidéo choc.
Pourquoi une femme frappée par son mari incite les passants à intervenir alors que le contraire indiffère ? Le clip, tourné en caméra cachée, montre un couple dans ces deux situations. C’est d’abord l’homme qui se glisse dans la peau du pervers. Dans une rue bondée de Londres, il devient très insistant et violent avec sa compagne. Mais des inconnus ne tardent pas à intervenir. « Ca va pas ! s’interpose une femme. Si vous n’arrêtez pas, j’appelle la police ».
Et quand les rôles s’inversent, les réactions sont surprenantes. La femme, très violente avec son compagnon n’hésitant à lui tirer les cheveux et à le gifler, n’est pas une seule fois arrêtée. Pire, les badauds s’amusent de la situation.
La campagne finit par un chiffre choc : 40% des violences conjugales sont subies par le « sexe fort ».
Et vous, comment auriez-vous réagi à la place de ces passants anglais ? En France aussi la question est taboue. On compte une seule et unique association de défense des hommes victimes de violences, SOS hommes battus , créée en 2008. Leur permanence téléphonique recevrait plus de 3500 appels d’hommes en détresse chaque année. Au total, on comptabiliserait plus de 110 000 victimes masculines chaque année…
Découvrez la vidéo de cette campagne choc ci-dessous : Lu sur FemmeActuelle.fr
Pour rendre compte de cette réalité souvent moquée et prise à la légère, un organisme anglais de soutien aux hommes violentés « ManKind », a mis en ligne une vidéo choc.
Pourquoi une femme frappée par son mari incite les passants à intervenir alors que le contraire indiffère ? Le clip, tourné en caméra cachée, montre un couple dans ces deux situations. C’est d’abord l’homme qui se glisse dans la peau du pervers. Dans une rue bondée de Londres, il devient très insistant et violent avec sa compagne. Mais des inconnus ne tardent pas à intervenir. « Ca va pas ! s’interpose une femme. Si vous n’arrêtez pas, j’appelle la police ».
Et quand les rôles s’inversent, les réactions sont surprenantes. La femme, très violente avec son compagnon n’hésitant à lui tirer les cheveux et à le gifler, n’est pas une seule fois arrêtée. Pire, les badauds s’amusent de la situation.
La campagne finit par un chiffre choc : 40% des violences conjugales sont subies par le « sexe fort ».
Et vous, comment auriez-vous réagi à la place de ces passants anglais ? En France aussi la question est taboue. On compte une seule et unique association de défense des hommes victimes de violences, SOS hommes battus , créée en 2008. Leur permanence téléphonique recevrait plus de 3500 appels d’hommes en détresse chaque année. Au total, on comptabiliserait plus de 110 000 victimes masculines chaque année…
Découvrez la vidéo de cette campagne choc ci-dessous : Lu sur FemmeActuelle.fr