Communiqué de presse Depuis un certain temps, à la suite de la démonstration de force au quatrième congrès de la Convention pour le Reno...
Communiqué de presse
Depuis un certain temps, à la suite de la démonstration de force au quatrième congrès de la Convention pour le Renouveau des Comores, la personnalité d’Azali Assoumani est devenue la cible. On lui jette des noms d’oiseux et d’anathèmes. Bien que l’on puisse comprendre les mobiles de cette vague de violence inouïe, il nous parait nécessaire de restituer les faits dans leur vérité historique.
Azali Assoumani s’est il réfugié à l’Ambassade alors qu’il était chef d’état major ?
Faux :
En 1995, Azali Assoumani n’était pas chef d’état major. C’était plutôt le colonel Moilim Djoussouf. Azali Assoumani était sous ses ordres.
S’est il réfugié à l’Ambassade pour fuir le Combat ?
Faux : Azali Assoumani est allé demander un renfort extérieur.
Face à la menace des hommes de Dominique Malacrino et de Bob Denard qui commençaient à abattre quelques militaires et à tuer un conseiller du président, Azali Assoumani s’est rendu à l’Ambassade sous l’autorité du Directeur de Cabinet chargé de la Défense Monsieur Oukacha et du premier ministre Caabi Elyachourtu pour demander un renfort afin de contraindre les bandes de mercenaires à ne pas tirer sur le peuple.
La seule motivation était de protéger par tous les moyens possibles les Comoriennes et les Comoriens, et d’éviter les lots de morts et de tueries. De gagner la victoire de la guerre sans la combattre, qui est le but ultime de toute guerre.
Dominique Malacrino et Bob Denard avait formé une bande de mercenaires sans état d’âme, sans règle, sans foi et sans pitié. Elle ne respecte pas la règle de la guerre. Ce sont des affreux prêts à tirer tout ce qui bouge, comme au Bénin, au Congo ou au Biafra où des centaines de personnes y compris des enfants ont péri…
Certains pourraient dire qu’il fallait combattre même s’il y aurait des morts…. Ces même gens malintentionnés reviendront deux ans plus tard pour le traiter d’un officier irresponsable, incapable de calcul stratégique, qui à cause de ses choix tactiques, son peuple a été martyrisé….
Fin stratège, proche de son peuple, Azali Assoumani n’a jamais préféré une option qui pourrait nuire à la sécurité de son peuple. C’est ce qu’il a fait en 2006 en proposant à sa famille politique de ne pas se présenter pour préserver le grand intérêt national fondé sur la recherche de l’équilibre politique dont le noyau est cette démocratie consensuelle.
En allant à la chancellerie française pour solliciter à la Défense française d’user d’une pression sur les mercenaires, il a rejeté l’inaction et fait le choix du courage. Sa stratégie a été payante. Parce que le pays en est sorti indemne. A l’heure où certains se complaisent dans des postures d’incantation et de démagogie, oubliant parfois l’exigence professionnelle et éthique au profit de leurs petits intérêts, Azali Assoumani a choisi le parti pris de la préservation du grand intérêt national.
Dans son discours du 3 mai, l’ex président de l’Union des Comores a appelé à l’unité et au consensus en opposition de l’esprit corporatiste. Un président lucide sur l’état de la crise ne désarme pas devant les porteurs de discours de haine. Personne ne peut l’empêcher de poursuivre et d’agir sans relâches pour redonner à nos concitoyens la fierté d’être comorien en stimulant le génie créatif des Comoriens et de sa diaspora.
Notre jeunesse ne se laissera pas leurrer par des propos inopportuns et démagogiques, car elle se rend compte de sa chance d’avoir comme leader un homme qui les aime, qui les protège et qui sait décider pour l’avenir de générations futures.
Nous appelons à nos concitoyens de rejoindre le Comité de soutien à Azali Assoumani pour les Comores unies et fortes au service du développement.
Le comité de soutien d’Azali Assoumani – France
Bindjad Ismael
Mchangama Chabane
Ben Abdou Hamidou
Depuis un certain temps, à la suite de la démonstration de force au quatrième congrès de la Convention pour le Renouveau des Comores, la personnalité d’Azali Assoumani est devenue la cible. On lui jette des noms d’oiseux et d’anathèmes. Bien que l’on puisse comprendre les mobiles de cette vague de violence inouïe, il nous parait nécessaire de restituer les faits dans leur vérité historique.
Azali Assoumani s’est il réfugié à l’Ambassade alors qu’il était chef d’état major ?
Faux :
En 1995, Azali Assoumani n’était pas chef d’état major. C’était plutôt le colonel Moilim Djoussouf. Azali Assoumani était sous ses ordres.
S’est il réfugié à l’Ambassade pour fuir le Combat ?
Faux : Azali Assoumani est allé demander un renfort extérieur.
Face à la menace des hommes de Dominique Malacrino et de Bob Denard qui commençaient à abattre quelques militaires et à tuer un conseiller du président, Azali Assoumani s’est rendu à l’Ambassade sous l’autorité du Directeur de Cabinet chargé de la Défense Monsieur Oukacha et du premier ministre Caabi Elyachourtu pour demander un renfort afin de contraindre les bandes de mercenaires à ne pas tirer sur le peuple.
La seule motivation était de protéger par tous les moyens possibles les Comoriennes et les Comoriens, et d’éviter les lots de morts et de tueries. De gagner la victoire de la guerre sans la combattre, qui est le but ultime de toute guerre.
Dominique Malacrino et Bob Denard avait formé une bande de mercenaires sans état d’âme, sans règle, sans foi et sans pitié. Elle ne respecte pas la règle de la guerre. Ce sont des affreux prêts à tirer tout ce qui bouge, comme au Bénin, au Congo ou au Biafra où des centaines de personnes y compris des enfants ont péri…
Certains pourraient dire qu’il fallait combattre même s’il y aurait des morts…. Ces même gens malintentionnés reviendront deux ans plus tard pour le traiter d’un officier irresponsable, incapable de calcul stratégique, qui à cause de ses choix tactiques, son peuple a été martyrisé….
Fin stratège, proche de son peuple, Azali Assoumani n’a jamais préféré une option qui pourrait nuire à la sécurité de son peuple. C’est ce qu’il a fait en 2006 en proposant à sa famille politique de ne pas se présenter pour préserver le grand intérêt national fondé sur la recherche de l’équilibre politique dont le noyau est cette démocratie consensuelle.
En allant à la chancellerie française pour solliciter à la Défense française d’user d’une pression sur les mercenaires, il a rejeté l’inaction et fait le choix du courage. Sa stratégie a été payante. Parce que le pays en est sorti indemne. A l’heure où certains se complaisent dans des postures d’incantation et de démagogie, oubliant parfois l’exigence professionnelle et éthique au profit de leurs petits intérêts, Azali Assoumani a choisi le parti pris de la préservation du grand intérêt national.
Dans son discours du 3 mai, l’ex président de l’Union des Comores a appelé à l’unité et au consensus en opposition de l’esprit corporatiste. Un président lucide sur l’état de la crise ne désarme pas devant les porteurs de discours de haine. Personne ne peut l’empêcher de poursuivre et d’agir sans relâches pour redonner à nos concitoyens la fierté d’être comorien en stimulant le génie créatif des Comoriens et de sa diaspora.
Notre jeunesse ne se laissera pas leurrer par des propos inopportuns et démagogiques, car elle se rend compte de sa chance d’avoir comme leader un homme qui les aime, qui les protège et qui sait décider pour l’avenir de générations futures.
Nous appelons à nos concitoyens de rejoindre le Comité de soutien à Azali Assoumani pour les Comores unies et fortes au service du développement.
Le comité de soutien d’Azali Assoumani – France
Bindjad Ismael
Mchangama Chabane
Ben Abdou Hamidou
Par Msa Ali Djamal