Oui, j’en conviens que certes, ça pourrait faire rire du fait que ces genres d’acte notamment les reconnaissances de dette relèvent plutôt ...
Oui, j’en conviens que certes, ça pourrait faire rire du fait que ces genres d’acte notamment les reconnaissances de dette relèvent plutôt du domaine privé dans les relations d’affaires en l’occurrence. Mais je me dois d’affirmer de la façon la plus solennelle que nous, jeunes comoriens, nous jeunes patriotes, nous qui espérons et rêvons encore d’un monde meilleur un jour, aux îles-de-la-Lune, devons reconnaitre cette dette dont l’aspect n’a absolument rien de pécuniaire mais due surtout à l’engagement indéfectible et sans faille de cet homme, ce grand homme dont je n’ai pas le chiffre exact pour quantifier le courage et l’abnégation pour le respect et le bien-être du peuple mohélien en particulier et celui des Comores dans sa globalité.
Cher frère, malgré la distance, je suis de très près l’actualité comorienne et j’ai eu avec stupéfaction et horreur connaissance des actes lâches et odieux dont vous êtes victime ces derniers temps. Je crois fermement que les Comoriens ne sont pas dupes. Ils réalisent en effet que tout est orchestré dans le seul objectif de vous faire taire, de vous dissuader, de vous pousser à se résigner et à capituler.
C’est pourquoi, je trouve qu’il est de mon devoir mais du devoir de chaque citoyen comorien de vous témoigner publiquement notre inconditionnel soutien et vous encourager à poursuivre votre honorable combat, lequel combat nous engage tous.
Monsieur le Maire, cher frère, comme vous le savez j'ai beaucoup d'admiration pour vous, pour la personne que vous êtes, pour l’idéologie noble et salutaire que vous incarnez. Celle d’une justice juste, celle du respect de la loi et de la norme suprême qu’est la constitution. Je suis bien conscient que ma voix est faible, voire très faible. Mais j’estime qu’il est plus qu’important de l’exprimer ne serait-ce que pour vous apporter mon modeste soutien et par là inciter aux jeunes patriotes à s’identifier à la lutte indispensable que vous menez contre nos dirigeants malhonnêtes, insouciants des difficultés socio-économiques auxquelles font face nos concitoyens.
Ce qui s’est passé au tribunal le 24 mai 2014 à Mohéli honore la justice comorienne, une justice qui, jusqu’aujourd’hui peine à faire preuve d’indépendance vis-à-vis du pouvoir exécutif.
Votre acquittement cher Monsieur l’Ancien Maire, est une fierté pour l’ensemble des jeunes patriotes amoureux et soucieux de notre cher pays.
Je ne peux enfin que vous adresser mes vives et sincères félicitations tout en priant à Dieu, le tout puissant, de vous accorder une santé de fer pour pouvoir mener à bien votre combat, notre combat digne et louable.
Cher frère, malgré la distance, je suis de très près l’actualité comorienne et j’ai eu avec stupéfaction et horreur connaissance des actes lâches et odieux dont vous êtes victime ces derniers temps. Je crois fermement que les Comoriens ne sont pas dupes. Ils réalisent en effet que tout est orchestré dans le seul objectif de vous faire taire, de vous dissuader, de vous pousser à se résigner et à capituler.
C’est pourquoi, je trouve qu’il est de mon devoir mais du devoir de chaque citoyen comorien de vous témoigner publiquement notre inconditionnel soutien et vous encourager à poursuivre votre honorable combat, lequel combat nous engage tous.
Monsieur le Maire, cher frère, comme vous le savez j'ai beaucoup d'admiration pour vous, pour la personne que vous êtes, pour l’idéologie noble et salutaire que vous incarnez. Celle d’une justice juste, celle du respect de la loi et de la norme suprême qu’est la constitution. Je suis bien conscient que ma voix est faible, voire très faible. Mais j’estime qu’il est plus qu’important de l’exprimer ne serait-ce que pour vous apporter mon modeste soutien et par là inciter aux jeunes patriotes à s’identifier à la lutte indispensable que vous menez contre nos dirigeants malhonnêtes, insouciants des difficultés socio-économiques auxquelles font face nos concitoyens.
Ce qui s’est passé au tribunal le 24 mai 2014 à Mohéli honore la justice comorienne, une justice qui, jusqu’aujourd’hui peine à faire preuve d’indépendance vis-à-vis du pouvoir exécutif.
Votre acquittement cher Monsieur l’Ancien Maire, est une fierté pour l’ensemble des jeunes patriotes amoureux et soucieux de notre cher pays.
Je ne peux enfin que vous adresser mes vives et sincères félicitations tout en priant à Dieu, le tout puissant, de vous accorder une santé de fer pour pouvoir mener à bien votre combat, notre combat digne et louable.
Bien cordialement,
Votre frère RAMADHOINI Chanfi
Votre frère RAMADHOINI Chanfi