Les enquêteurs du 2ème district de police judiciaire (DPJ) étaient sur sa piste depuis près de quatre ans. Ils viennent d'interpeller u...
Les enquêteurs du 2ème district de police judiciaire (DPJ) étaient sur sa piste depuis près de quatre ans. Ils viennent d'interpeller un homme soupçonné d’une agression sexuelle commise dans une maison de retraite, située rue d’Avron à Paris (XXe). Présenté à un juge d’instruction le vendredi 10 janvier, il a été mis en examen avant d’être placé en détention provisoire.
Le suspect, de nationalité comorienne, âgé de 42 ans, s’en était pris, dans la nuit du 6 au 7 juillet 2010, à une retraitée de 85 ans. La victime, très affaiblie par une maladie dégénérative, n’avait rien pu faire pour empêcher son agresseur de s’en prendre à elle. L’homme était parvenu à s’introduire dans sa chambre, avant de l’agresser sexuellement.
«Les investigations entreprises ont permis d’établir que cet homme s’était déjà rendu dans la même chambre, quelques jours auparavant, mais sans pouvoir s’en prendre à cette retraitée, confie un enquêteur. Des recoupements sont en cours avec d’autres affaires similaires».
L’auteur présumé des faits a été interpellé à sa descente d’avion, à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, alors qu’il revenait des Comores. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu son implication. LeParisien.fr
Le suspect, de nationalité comorienne, âgé de 42 ans, s’en était pris, dans la nuit du 6 au 7 juillet 2010, à une retraitée de 85 ans. La victime, très affaiblie par une maladie dégénérative, n’avait rien pu faire pour empêcher son agresseur de s’en prendre à elle. L’homme était parvenu à s’introduire dans sa chambre, avant de l’agresser sexuellement.
«Les investigations entreprises ont permis d’établir que cet homme s’était déjà rendu dans la même chambre, quelques jours auparavant, mais sans pouvoir s’en prendre à cette retraitée, confie un enquêteur. Des recoupements sont en cours avec d’autres affaires similaires».
L’auteur présumé des faits a été interpellé à sa descente d’avion, à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, alors qu’il revenait des Comores. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu son implication. LeParisien.fr