Dans les poubelles de l’Hexagone, c’est la guerre, et c’est de bonne guerre : L’ancien Président Ahmed Sambi déclare la guerre aux élit...
Dans
les poubelles de l’Hexagone, c’est la guerre, et c’est de bonne guerre :
L’ancien Président Ahmed Sambi déclare la guerre aux élites comoriennes
!
La plainte de l’ancien président Ahmed Sambi contre ARM n’est pas la bienvenue, car pendant son règne, il était tout simplement un W entouré des 3 WWW: «Wedzi Watukufu Wa Dawula», les «“Honorables” Voleurs de la République». Sa plainte contre ARM «pour diffamation», c’est un prétexte par lequel il cherche à cacher ses hontes… C’est donc une plainte cache-hontes. Quand un Président comorien décide d’encourager la fuite des cerveaux et laisser ARM et les autres comme lui dans les poubelles de l’Hexagone, sous prétexte qu’il est impoli, alors oui, prenez à votre convenance ceux qui sont polis à vos yeux, «mais» au moins avec le minimum de compétence; car après tout, les Comores nous appartiennent à tous. On ne s’improvise pas dirigeant! Être dirigeant est un art à part entière. Mieux encore, il y a des écoles pour former les autorités...
Puisque être dirigeant est un art à part entière, qui suppose le désir d’aider le peuple à développer ses talents, son originalité, et son potentiel propre, alors oui, on se demande loyalement: où se trouve ce désir des dirigeants du peuple comorien pour développer les talents ? Où se trouve le désir de ceux qui nous gouvernent pour développer l’originalité comorienne, puisque après tout, chaque pays est unique au monde; enfin, mais où se trouve ce désir des dirigeants comoriens pour développer notre potentiel propre, au moment où des têtes pensantes à l’exemple précis du Docteur Abdelaziz Riziki Mohamed, ARM, et plusieurs autres comme lui, végètent dans les poubelles en France?
Dans mon livre, «Comores, le symptôme du chaos», j’ai parlé des élites comoriennes dans les poubelles de l’Hexagone. C’est la honte des dirigeants comoriens, et quand l’ancien Président Ahmed Sambi vient en France pour déposer plainte contre celui qui a passé des années à étudier l’intérêt général et l’ordre public, une plainte contre celui qui a passé des longues années à la Faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat pour obtenir son premier Doctorat, et qui a passé des longues années à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne pour obtenir son deuxième Doctorat en Science politique, c’est honteux et scandaleux; quand on porte plainte contre un type pareil, justement parce qu’il remet en cause la compétence inexistante et la malhonnêteté de celui qui était Président de l’Union des Comores, oui, ça fait mal, on tire les volets et on parle à huis clos, car ici, la «diffamation» dont on accuse ARM n’est pas autre chose qu’un prétexte pour camoufler l’incompétence avérée des dirigeants.
J’avoue que certains passages de l’article du Docteur ARM ce vendredi 31 janvier 2014 m’ont ému aux larmes: «Même quand je suis berger ou “femme de ménage”, je fais ces métiers avec la conception d’un homme qui a étudié l’Administration publique, le Droit public et la Science politique». Ou encore: «J’ai fait mes premières armes à l’École nationale d’Administration publique (ÉNAP) de Rabat au Maroc, où, au cours d’un cursus de 7 ans, tout l’enseignement s’ordonnait autour de deux notions: l’intérêt général et l’ordre public. Pendant 7 ans, j’ai vécu avec ces deux notions. Les longues années que j’ai passées à la Faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat et à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ne m’ont pas éloigné des idéaux de l’ÉNAP».
Quand ARM fait le constat, il indexe: «Des gens qui veulent diriger les Comores sans avoir la compétence n’ont pas encore compris que quand on est une personnalité publique, il faut s’attendre à faire l’objet de critiques de la part du peuple, et que pour être dirigeant d’un pays, il y a des écoles pour former les autorités».
En lisant ces passages, pour celui qui a écrit il y a quatre ans de cela, «Les élites comoriennes dans les poubelles de l’Hexagone», un livre publié chez Jets d’Encre Éditions, oui, ces passages sont émouvants. Car il n’y a pas un homme parfait dans ce monde: chacun a ses erreurs, chacun a ses défauts. Toutefois il y a des compétents et des incompétents, il faut les reconnaître.
Comme disait un vieux sage de chez moi à Maoueni ya Dimani, «hitwa shiyi tsi sumbwi! Namsi mhono wa routouba». Quand on décide d’encourager la fuite des cerveaux et laisser ARM et les autres comme lui dans les poubelles de l’Hexagone, sous prétexte qu’il est impoli, alors oui, prenez à votre convenance ceux qui sont polis à vos yeux, et nous verrons. J’espère de tout mon cœur que le Docteur Ikililou Dhoinine, Président de l’Union des Comores actuellement en fonction, osera regarder la vérité en face pour enfin dire: «Plus jamais de fuite des cerveaux!». S’il vous plaît! Donnons les estimes et les éloges aux compétents et aux compétentes et surtout pas des éloges aux 3 WWW comoriens, ces voleurs professionnels.
La plainte de l’ancien Président Ahmed Sambi contre ARM, n’est pas la bienvenue, car pendant son règne, il était tout simplement un des WWW entourés des 3 WWW: «Wedzi Watukufu Wa Dawula», les «“Honorables” Voleurs de la République»; donc, sa plainte contre ARM est une honte et un scandale pour un homme public. Honte à toi, Ahmed Sambi ! C’est un prétexte tout simplement. Mais, la cause réelle n’est pas cette prétendue «diffamation» sur la tentative de coup d’État du 19 avril 2013. Non. Cette précipitation va de pair avec la précipitation de la candidature inopportune et divisionniste de 2016, que le frère ARM dénonce, stigmatise et condamne sans réserve.
Faut-il rappeler que pour cette affaire de tentative de coup d’État du 19 avril 2013, des gens croupissent en prison alors qu’Ahmed Sambi, qui se dit diffamé par ARM sur cette affaire, est libre dans ses mouvements? Où sont les dommages subis par Ahmed Sambi, et que dire de ceux qui croupissent en prison sans jugement?
Mrimdu
La plainte de l’ancien président Ahmed Sambi contre ARM n’est pas la bienvenue, car pendant son règne, il était tout simplement un W entouré des 3 WWW: «Wedzi Watukufu Wa Dawula», les «“Honorables” Voleurs de la République». Sa plainte contre ARM «pour diffamation», c’est un prétexte par lequel il cherche à cacher ses hontes… C’est donc une plainte cache-hontes. Quand un Président comorien décide d’encourager la fuite des cerveaux et laisser ARM et les autres comme lui dans les poubelles de l’Hexagone, sous prétexte qu’il est impoli, alors oui, prenez à votre convenance ceux qui sont polis à vos yeux, «mais» au moins avec le minimum de compétence; car après tout, les Comores nous appartiennent à tous. On ne s’improvise pas dirigeant! Être dirigeant est un art à part entière. Mieux encore, il y a des écoles pour former les autorités...
Puisque être dirigeant est un art à part entière, qui suppose le désir d’aider le peuple à développer ses talents, son originalité, et son potentiel propre, alors oui, on se demande loyalement: où se trouve ce désir des dirigeants du peuple comorien pour développer les talents ? Où se trouve le désir de ceux qui nous gouvernent pour développer l’originalité comorienne, puisque après tout, chaque pays est unique au monde; enfin, mais où se trouve ce désir des dirigeants comoriens pour développer notre potentiel propre, au moment où des têtes pensantes à l’exemple précis du Docteur Abdelaziz Riziki Mohamed, ARM, et plusieurs autres comme lui, végètent dans les poubelles en France?
Dans mon livre, «Comores, le symptôme du chaos», j’ai parlé des élites comoriennes dans les poubelles de l’Hexagone. C’est la honte des dirigeants comoriens, et quand l’ancien Président Ahmed Sambi vient en France pour déposer plainte contre celui qui a passé des années à étudier l’intérêt général et l’ordre public, une plainte contre celui qui a passé des longues années à la Faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat pour obtenir son premier Doctorat, et qui a passé des longues années à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne pour obtenir son deuxième Doctorat en Science politique, c’est honteux et scandaleux; quand on porte plainte contre un type pareil, justement parce qu’il remet en cause la compétence inexistante et la malhonnêteté de celui qui était Président de l’Union des Comores, oui, ça fait mal, on tire les volets et on parle à huis clos, car ici, la «diffamation» dont on accuse ARM n’est pas autre chose qu’un prétexte pour camoufler l’incompétence avérée des dirigeants.
Les élites comoriennes dans les poubelles de l’Hexagone!
J’avoue que certains passages de l’article du Docteur ARM ce vendredi 31 janvier 2014 m’ont ému aux larmes: «Même quand je suis berger ou “femme de ménage”, je fais ces métiers avec la conception d’un homme qui a étudié l’Administration publique, le Droit public et la Science politique». Ou encore: «J’ai fait mes premières armes à l’École nationale d’Administration publique (ÉNAP) de Rabat au Maroc, où, au cours d’un cursus de 7 ans, tout l’enseignement s’ordonnait autour de deux notions: l’intérêt général et l’ordre public. Pendant 7 ans, j’ai vécu avec ces deux notions. Les longues années que j’ai passées à la Faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat et à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ne m’ont pas éloigné des idéaux de l’ÉNAP».
Quand ARM fait le constat, il indexe: «Des gens qui veulent diriger les Comores sans avoir la compétence n’ont pas encore compris que quand on est une personnalité publique, il faut s’attendre à faire l’objet de critiques de la part du peuple, et que pour être dirigeant d’un pays, il y a des écoles pour former les autorités».
En lisant ces passages, pour celui qui a écrit il y a quatre ans de cela, «Les élites comoriennes dans les poubelles de l’Hexagone», un livre publié chez Jets d’Encre Éditions, oui, ces passages sont émouvants. Car il n’y a pas un homme parfait dans ce monde: chacun a ses erreurs, chacun a ses défauts. Toutefois il y a des compétents et des incompétents, il faut les reconnaître.
Comme disait un vieux sage de chez moi à Maoueni ya Dimani, «hitwa shiyi tsi sumbwi! Namsi mhono wa routouba». Quand on décide d’encourager la fuite des cerveaux et laisser ARM et les autres comme lui dans les poubelles de l’Hexagone, sous prétexte qu’il est impoli, alors oui, prenez à votre convenance ceux qui sont polis à vos yeux, et nous verrons. J’espère de tout mon cœur que le Docteur Ikililou Dhoinine, Président de l’Union des Comores actuellement en fonction, osera regarder la vérité en face pour enfin dire: «Plus jamais de fuite des cerveaux!». S’il vous plaît! Donnons les estimes et les éloges aux compétents et aux compétentes et surtout pas des éloges aux 3 WWW comoriens, ces voleurs professionnels.
La plainte de l’ancien Président Ahmed Sambi contre ARM, n’est pas la bienvenue, car pendant son règne, il était tout simplement un des WWW entourés des 3 WWW: «Wedzi Watukufu Wa Dawula», les «“Honorables” Voleurs de la République»; donc, sa plainte contre ARM est une honte et un scandale pour un homme public. Honte à toi, Ahmed Sambi ! C’est un prétexte tout simplement. Mais, la cause réelle n’est pas cette prétendue «diffamation» sur la tentative de coup d’État du 19 avril 2013. Non. Cette précipitation va de pair avec la précipitation de la candidature inopportune et divisionniste de 2016, que le frère ARM dénonce, stigmatise et condamne sans réserve.
Faut-il rappeler que pour cette affaire de tentative de coup d’État du 19 avril 2013, des gens croupissent en prison alors qu’Ahmed Sambi, qui se dit diffamé par ARM sur cette affaire, est libre dans ses mouvements? Où sont les dommages subis par Ahmed Sambi, et que dire de ceux qui croupissent en prison sans jugement?
Mrimdu