La salle était pleine à craquer ! Cet après-midi à Epinay-sur-Seine, environ 400 comoriens ont fait le déplacement pour assister à la conf...
La salle était pleine à craquer ! Cet après-midi à Epinay-sur-Seine, environ 400 comoriens ont fait le déplacement pour assister à la conférence de presse de l'ancien président Sambi.
Un parterre de personnalité de la commune, comme le député PS, Mr Bruno le roux, l'adjoint au maire de commune Mohamed CHARFAOUI , Anick TRIGANCE, conseiller municipal, et des personnalités venues directement du pays comme l'ancien ministre des affaires extérieures, maître Fahmi Saïd Ibrahim , l'ancien ministre A. BARWANI, celui de la santé , Mr SOUNHADJI, Mr Mikidachi , ancien ministre, l'ancien directeur de la MaMwe Mr ALFONSE MLANAWO et bien d'autres encore qui ont voulu honorer cette rencontre par leur présence.
Comme à l'accoutumée, SAMBI le maitre de la parole nous a fait preuve de son talent d'orateur en décortiquant les raisons qui, lui et ses amis, les ont conduit à créer le parti JUWA. Tout comme le long de son intervention, il a défini les qualités que doit requérir un watwanya; c'est à dire un nationaliste, ce comorien qui aime le plus son pays.
Selon l'ancien président, un watwanya doit remplir deux conditions :
1- Etre prêt à défendre son pays avec tous les moyens et à verser son sang si cela est nécessaire.
2- Etre capable de l'aimer comme jamais quelqu'un d'autre peut l'aimer.
Dans son allocution, l'homme au kiemba a montré combien la diaspora joue un rôle fondamental pour le pays et ô combien, elle peut remplir ce rôle de watwanya car il participe activement au développement du pays : « Nous avons besoin de votre contribution ; engagement, courage, intelligence, technicité, matériel pour construire les Comores de nos enfants. Aidez-nous à ce que demain le pays soit gérer par des hommes intelligents et honnêtes », martela l'ancien président.
Il a rappelé que la possibilité pour notre pays à devenir un pays pétrolier et gazier est tellement réelle, mais il faut rester prudent car la politique comorienne peut être convoitée par beaucoup des pays du monde et c'est pourquoi, nous ne devrons pas tomber dans le piège.
Avant de nous parler du parti JUWA, Mr SAMBI a défendu avec force et pugnacité son bilan : « Vous savez mes chers compatriotes, j'ai hérité un pays en séparatiste, deux armés, quatre gouvernement, quatre présidents, quatre constitutions, de nombreux échéances électoraux, une banque (BIC) etc. Et voilà ce que j'ai laissé en partant en 2011. L' ile d'Anjouan a été libérée, nous avons une seule constitution, les présidents des iles sont devenues des gouverneurs, les élections s'organisent en même temps, nous avons commencé à payer la dette pour la première fois et les banques étaient au nombre ; EXIMBANK, CNPCF, BFC et la BIC. Pour les infrastructures, nous avons fait le projet de citoyenneté économique, pour le financer les routes et le projet habitat. Nous avons également obtenu quatre pompes à eau pour alimenter Moroni en eau, des groupes électrogènes chinois pour atténuer les délestages électriques et que sais-je encore ! Et aujourd'hui le relais qui rassure que j'ai soutenu est le premier à cracher sur tous les projets qu'ensemble nous avons cru ».
Dans sa lancée devant un public conquis, oustadhi a montré que lui et ses proches n'avait pas d'autres choix après la trahison qu'ils venaient de subir que de créer un parti : le parti JUWA car le passé m'a appris que par méconnaissance des gens j'ai donné le pouvoir à des gens qui ne le mérité pas. Par ce parti nous a appelons à tous les comoriens assoiffés du changement, du progrès et du développement de nous rejoindre dans le parti JUWA car ceux qui gouvernerons les Comores de demain ce sont ceux avec qui nous aurions milité ensemble. La chance unique dont il a bénéficié le président IKILILOU ne peut pas se reproduire une deuxième fois avec quelqu'un d'autre. Sachez chers frères que le projet que parti JUWA porte très haut au-delà de la mise en place d'une infrastructure judiciaire, c'est le tourisme. Nous croyons que nous possédons tous les atouts pour la création d'une industrie touristique digne de ce nom qui tiendra compte de deux volet ; le tourisme de masse qui attirera en majorité les occidentaux et le tourisme familiale dont certains pays arabes en sont friands. Nous avons le climat, la beauté du paysage, l'agriculture, le volcan, une culture ancienne, une histoire, tout ça ce sont des atouts qui doivent nous inciter à faire du tourisme notre première mamelle. C'est en somme le projet de société de notre parti.
Il a fini sa conférence en appelant tous comoriens à s'unir, à mettre le courage, leur intelligence, leurs moyens au service de la construction du pays et il n'a pas oublier de marteler le slogan du parti JUWA : Si le pays gagne , c'est tout le monde qui gagne.
Il a reçu à la fin des rencontres différentes délégations : délégation des femmes mohéliennes, Epinay-sur-Seine, Nice etc.
Mbadakome
Un parterre de personnalité de la commune, comme le député PS, Mr Bruno le roux, l'adjoint au maire de commune Mohamed CHARFAOUI , Anick TRIGANCE, conseiller municipal, et des personnalités venues directement du pays comme l'ancien ministre des affaires extérieures, maître Fahmi Saïd Ibrahim , l'ancien ministre A. BARWANI, celui de la santé , Mr SOUNHADJI, Mr Mikidachi , ancien ministre, l'ancien directeur de la MaMwe Mr ALFONSE MLANAWO et bien d'autres encore qui ont voulu honorer cette rencontre par leur présence.
Comme à l'accoutumée, SAMBI le maitre de la parole nous a fait preuve de son talent d'orateur en décortiquant les raisons qui, lui et ses amis, les ont conduit à créer le parti JUWA. Tout comme le long de son intervention, il a défini les qualités que doit requérir un watwanya; c'est à dire un nationaliste, ce comorien qui aime le plus son pays.
Selon l'ancien président, un watwanya doit remplir deux conditions :
1- Etre prêt à défendre son pays avec tous les moyens et à verser son sang si cela est nécessaire.
2- Etre capable de l'aimer comme jamais quelqu'un d'autre peut l'aimer.
Dans son allocution, l'homme au kiemba a montré combien la diaspora joue un rôle fondamental pour le pays et ô combien, elle peut remplir ce rôle de watwanya car il participe activement au développement du pays : « Nous avons besoin de votre contribution ; engagement, courage, intelligence, technicité, matériel pour construire les Comores de nos enfants. Aidez-nous à ce que demain le pays soit gérer par des hommes intelligents et honnêtes », martela l'ancien président.
Il a rappelé que la possibilité pour notre pays à devenir un pays pétrolier et gazier est tellement réelle, mais il faut rester prudent car la politique comorienne peut être convoitée par beaucoup des pays du monde et c'est pourquoi, nous ne devrons pas tomber dans le piège.
Avant de nous parler du parti JUWA, Mr SAMBI a défendu avec force et pugnacité son bilan : « Vous savez mes chers compatriotes, j'ai hérité un pays en séparatiste, deux armés, quatre gouvernement, quatre présidents, quatre constitutions, de nombreux échéances électoraux, une banque (BIC) etc. Et voilà ce que j'ai laissé en partant en 2011. L' ile d'Anjouan a été libérée, nous avons une seule constitution, les présidents des iles sont devenues des gouverneurs, les élections s'organisent en même temps, nous avons commencé à payer la dette pour la première fois et les banques étaient au nombre ; EXIMBANK, CNPCF, BFC et la BIC. Pour les infrastructures, nous avons fait le projet de citoyenneté économique, pour le financer les routes et le projet habitat. Nous avons également obtenu quatre pompes à eau pour alimenter Moroni en eau, des groupes électrogènes chinois pour atténuer les délestages électriques et que sais-je encore ! Et aujourd'hui le relais qui rassure que j'ai soutenu est le premier à cracher sur tous les projets qu'ensemble nous avons cru ».
Dans sa lancée devant un public conquis, oustadhi a montré que lui et ses proches n'avait pas d'autres choix après la trahison qu'ils venaient de subir que de créer un parti : le parti JUWA car le passé m'a appris que par méconnaissance des gens j'ai donné le pouvoir à des gens qui ne le mérité pas. Par ce parti nous a appelons à tous les comoriens assoiffés du changement, du progrès et du développement de nous rejoindre dans le parti JUWA car ceux qui gouvernerons les Comores de demain ce sont ceux avec qui nous aurions milité ensemble. La chance unique dont il a bénéficié le président IKILILOU ne peut pas se reproduire une deuxième fois avec quelqu'un d'autre. Sachez chers frères que le projet que parti JUWA porte très haut au-delà de la mise en place d'une infrastructure judiciaire, c'est le tourisme. Nous croyons que nous possédons tous les atouts pour la création d'une industrie touristique digne de ce nom qui tiendra compte de deux volet ; le tourisme de masse qui attirera en majorité les occidentaux et le tourisme familiale dont certains pays arabes en sont friands. Nous avons le climat, la beauté du paysage, l'agriculture, le volcan, une culture ancienne, une histoire, tout ça ce sont des atouts qui doivent nous inciter à faire du tourisme notre première mamelle. C'est en somme le projet de société de notre parti.
Il a fini sa conférence en appelant tous comoriens à s'unir, à mettre le courage, leur intelligence, leurs moyens au service de la construction du pays et il n'a pas oublier de marteler le slogan du parti JUWA : Si le pays gagne , c'est tout le monde qui gagne.
Il a reçu à la fin des rencontres différentes délégations : délégation des femmes mohéliennes, Epinay-sur-Seine, Nice etc.
Mbadakome