Deux victimes blessées samedi dans un attentat à l'explosif dans un bus de Nairobi sont décédées portant le bilan toujours provisoire...
Deux victimes blessées samedi dans un attentat à l'explosif dans un bus de Nairobi sont décédées portant le bilan toujours provisoire à six morts, a annoncé la police kényane dimanche, ajoutant qu'un suspect était interrogé.
"Nous avons perdu deux victimes à l'hôpital, où une trentaine de personnes restent admises", a déclaré le chef de la police de Nairobi, Benson Kibue.
"Le bilan de cet événement est désormais de six tués", a-t-il ajouté.
"L'enquête continue et nous détenons un suspect qui a été arrêté peu après l'attentat. Il nous aide dans l'enquête", a poursuivi M. Kibue, sans autre détail.
Samedi en fin d'après-midi, un engin explosif, apparemment de forte puissance, a déchiqueté un bus de 32 places reliant le quartier d'Eastleigh, surnommé "Little Mogadiscio" en raison de sa forte population somalienne ou kényane d'ethnie somalie, au centre-ville.L'explosion a également touché des voitures circulant derrière le bus, dont au moins un des conducteurs a été tué, selon des témoins. Des témoins cités par la presse kényane ont fait état de blessés très grièvement touchés.
La police avait indiqué samedi soir chercher à savoir si l'explosion était due à une grenade ou une bombe artisanale, lancée depuis l'extérieur, déposée dans le bus ou transportée par un passager.
Cette attaque était la quatrième en cinq jours au Kenya, qui fêtait jeudi le cinquantenaire de son indépendance, sans que des liens particuliers puissent être établis dans l'immédiat entre ces différentes attaques, dont aucune n'a été revendiquée.Depuis qu'il a envoyé son armée combattre les islamistes shebab en Somalie en octobre 2011, le Kenya a été le théâtre d'attaques récurrentes, particulièrement sa partie Est, qui longe sur 700 km la frontière somalienne, mais aussi Nairobi et Mombasa, la deuxième ville du pays.
"Nous avons perdu deux victimes à l'hôpital, où une trentaine de personnes restent admises", a déclaré le chef de la police de Nairobi, Benson Kibue.
"Le bilan de cet événement est désormais de six tués", a-t-il ajouté.
"L'enquête continue et nous détenons un suspect qui a été arrêté peu après l'attentat. Il nous aide dans l'enquête", a poursuivi M. Kibue, sans autre détail.
Samedi en fin d'après-midi, un engin explosif, apparemment de forte puissance, a déchiqueté un bus de 32 places reliant le quartier d'Eastleigh, surnommé "Little Mogadiscio" en raison de sa forte population somalienne ou kényane d'ethnie somalie, au centre-ville.L'explosion a également touché des voitures circulant derrière le bus, dont au moins un des conducteurs a été tué, selon des témoins. Des témoins cités par la presse kényane ont fait état de blessés très grièvement touchés.
La police avait indiqué samedi soir chercher à savoir si l'explosion était due à une grenade ou une bombe artisanale, lancée depuis l'extérieur, déposée dans le bus ou transportée par un passager.
Cette attaque était la quatrième en cinq jours au Kenya, qui fêtait jeudi le cinquantenaire de son indépendance, sans que des liens particuliers puissent être établis dans l'immédiat entre ces différentes attaques, dont aucune n'a été revendiquée.Depuis qu'il a envoyé son armée combattre les islamistes shebab en Somalie en octobre 2011, le Kenya a été le théâtre d'attaques récurrentes, particulièrement sa partie Est, qui longe sur 700 km la frontière somalienne, mais aussi Nairobi et Mombasa, la deuxième ville du pays.
AFP