La liberté d’expression a ses limites. Dans un article torchon publié par Mlimadji sous anonymat car signé par une certaine Karima Ali ...
La liberté d’expression a ses limites.
Dans un article torchon publié par Mlimadji sous anonymat car signé par une certaine Karima Ali qui n’existe pas et comme d’habitude quand ils insultent ils n’osent pas aller jusqu’au bout en assumant leur maladresses, Fahar Nassur et Mohamed Chanfiou ont récidivé en s’attaquant frontalement à leur bête noire et souffre douleur Mohamed Ali Soilihi (Mamadou). C’est un torchon fangeux et dommageable, parce que produit de l’écume la plus empoisonnée de l’amateurisme journalistique: écume animalisante, chauvine, tribaliste, haineuse et injurieuse. Ce torchon qui suscite le dégoût, la commisération et la pitié pour ses auteurs haineux livre des citoyens respectables à la vindicte populaire. Ce torchon fangeux et tendancieux m’a alerté par son caractère vil, attaquant le Vice-président Mohamed Ali Soilihi et moi-même, mais on ne répond pas la violence par la violence.
Le philosophe hollandais Baruch Spinoza, (né à Amsterdam le 24 novembre 1632 et mort le 21 février 1677 à La Haye)disait: «Les hommes font l’Histoire, mais ils ne connaissent pas l’Histoire qu’ils font».
Autrement dit, personne ne peut prédire le résultat de ses actes, étant
donné que chacun prend place dans l’interaction complexe du tout-social
(et aujourd’hui du monde globalisé). Fahar Nassur et Mohamed Chanfiou font leur histoire comme bon leur semble, mais comme, l’a dit Théodore Monod, «il ne faut pas confondre l’Histoire avec les histoires». Ils sont aux antipodes de Nelson Mandela, lequel a fait son Histoire
en défendant son pays et son peuple, à ses risques et périls. Celui-ci
l’a fait à l’endroit, et elle lui a conféré le statut d’icône mondiale,
pendant que les deux énergumènes précités la font à l’envers, en égarés
réputés pour leur haine inégalable et inégalée.
Cette
fois-ci, Fahar Nassur de Moroni(Bac+insultes), Mohamed Chanfiou de
Mbéni(Bac+invectives), tous deux modérateurs du tristement célèbre Blog
Mlimadji, le déscendant et héritier de l'ancien Site "Karibangwé",
un blog créée uniquement pour calomnier, injurier et proférer des
insultes envers le Vice président Mohamed Ali Soilihi, ont excellé dans
leurs mensonges, leurs approximations et leur manie consistant à prêcher
le faux pour ne même pas chercher à connaître le vrai. Mais, cette
fois-ci, ils n’ont pas de chance car ils ont dépassé les bornes et je
vais leur montrer que c'est très facile de détruire.
En
effet, il fut un temps où Chanfiou Mohamed et Fahar Nassur insultaient
Mohamed Ali Soilihi dit Mamadou à longueur de journée, et tous les
internautes avaient fini par savoir que c’était un acharnement gratuit
et haineux de la part de ces deux exaltés qui ont raté leur vie en France
depuis les années 1970 et qui, par le biais du tristement et
honteusement célèbre Blog Mlimadji, veulent impressionner les Comoriens
pour redorer leurs images ternies à jamais. Nous constatons que ces
pseudos intellos ne font qu’insulter, injurier et remuer la fange, dans
leur blog. Aucun de leur article n’analyse la politique nationale, ni
propose des pistes concrètes dignes d’intellectuels tels qu’ils se
déclarent. On avait l’habitude de les voir insulter Mohamed Ali Soilihi
dit Mamadou, leur bête noire, et ils avaient peut être le droit de le
critiquer comme tant d'autres, mais malheureusemnt, ils ne savent pas la
différence entre critiquer et insulter. C'est un homme public et de
surcroît, occupant un poste très important, donc il accepte les
critiques.
Mais
aujourd’hui ils s’en prennent à moi, Docteur Ali ABDOU MDAHOMA,
professeur de lettres modernes en Collège et Lycée depuis 2008 en Région
parisienne. Je suis un homme modeste, très poli et sociable, mais je
peux devenir trop méchant et impoli car comme disent les Comoriens, on
ne naît pas impoli ou poli, mais on le devient en fonction de
l’éducation et des circonstances. Les faits relatés par Fahar Nassur et
Mohamed Chanfiou dans leur blog Mlimadji sont diffamatoires et relèvent
de la pure calomnie. À l’instar, des politiciens comoriens qui
sillonnent les 4 coins de la France
Mohamed Ali Soilihi, organise des entrevues avec des cadres et des
notables, mais aucune de ces rencontres n’a fait l’objet d’une campagne
électorale et n’a donné lieu à des versements d’argent. Celle à laquelle
les deux comiques du Blog Mlimadji ont fait allusion, laquelle
réunissait certains cadres de la circonscription de Hamahamet-Mboinkou, a
eu lieu à Paris mais le Vice-président les a rencontrés en sa qualité
d’élu de cette circonscription, sachant pertinemment qu’avant de devenir
Vice-président, il était Député de la préfecture de Hamahamet-Mboinkou.
Mohamed Chanfiou m’a enseigné en classe de 6ème
en 1978, quand il effectuait son service national à Chezani. Avec le
respect que je lui dois, je lui conseille de garder son sang-froid car
je ne veux pas susciter des hostilités entre les cadres de ma
circonscription de Hamahamet-Mboinkou, lui dire aussi que je ne chôme
pas à Paris et je crois qu'il est censé le savoir. Aller travailler aux
Comores donc serait un sacrifice par amour pour mon pays mais pas un
atout, contrairement à ce qu’ils pensent et connaissant les auteurs de
cet article.
J’ai
voulu à travers ce qu’ils ont dit de ne pas répondre à leurs bêtises
car en tout cas à force d’exagérer ils ont fini par être non crédibles
aux yeux des internautes. Mais, je tiens à leur dire que les Conseillers
licenciés au Cabinet de Mamadou sont des Comoriens et ceux qui les
remplaceront seront des Comoriens. Les Comores appartiennent à tous les
Comoriens et à toutes les Comoriennes. Néanmoins, ce n’est pas étonnant
de la part de ces deux individus, connus pour leurs positions chauvines,
extrémistes et séparatistes. Pour eux, les postes de Conseillers dans
les Cabinets présidentiels et ministériels appartiennent à certaines
catégories de la société. Que nenni!
Où
est le problème de me voir travailler dans un Cabinet présidentiel ou
ministériel? D’ailleurs, pour ceux qui ne me connaissent pas, j’ai été
le jeune Conseiller du Président Saïd Mohamed Djohar en 1990, alors que
je n’avais que 23 ans. Je n’ai pas attendu 2013 pour me lancer en
politique. J’ai commencé à servir mon pays depuis le 4 avril 1990, quand
je fus donc nommé au Cabinet du Président Saïd Mohamed Djohar. Quand il
s’agit de manipuler les cadres de Hamahamet-Mboinkou pour avoir le
poste de Conseiller dans un Cabinet n’est tout simplement pas digne de
ceux qui ont écrit ce brouillon de torchon fangeux et charriant la
haine. Le Vice-président a rencontré des notables à l’Ambassade des
Comores, certes mais il n’a jamais été question de campagne
présidentielle ou législative. Je ne crois pas que ça soit un crime
qu’un Vice-président de la République puisse rencontrer des notables de
son pays dans un local diplomatique.
Par
ailleurs, je relève que les deux lascars se trompent lourdement quand
ils croient remuer les poubelles et jeter sur moi l’opprobre, quand ils
soutiennent que j’ai eu, par le passé, une attitude malveillante envers
le Président Ikililou Dhoinine (que je connais depuis l’Université de
Mvouni dans les années 1980), le Vice-président Mohamed Ali Soilihi et
le Député Ibrahim Ali Mzimba. Quand ces deux derniers étaient chaque
jour traînés dans la boue par une certaine blogosphère comorienne, c’est
le Docteur Abdelaziz Riziki Mohamed et moi-même qui les avons défendus,
sans les connaître à l’époque, en réclamant de l’objectivité dans le
traitement de l’information les concernant, comme nous l’avons fait pour
Mmadi Ali et pour Bacar Dossar. Donc, la démarche des deux lascars est
celle de personnes désespérées et désespérantes. Le site Karibangwé
que vous aviez ouvert et administré était fermé par le régime d'Azali
moyennant une grosse somme d'argent donc faites attention car "charité
bien ordonnée commence par soi-même" et je connais personnellement tant
d'autres affaires qui ne vous honorent pas mais si vous voulez je vais
les livrer au public. Par conséquent, vous avez intérêt à les fermer.
Mais comme on dit, «calomniez, calomniez, il restera toujours quelque chose».
Docteur Ali ABDOU MDAHOMA