Nécessaire inventaire de l’« aide » de la Chine populaire aux Comores. L’Union des Comores, l’homme malade de l’océan Indien occide...
Nécessaire inventaire de l’«aide» de la Chine populaire aux Comores.
L’Union des Comores, l’homme malade de l’océan Indien occidental, un État vivant de mendicité internationale, de trafics divers, dont celui de passeports, vendus à des terroristes, à des trafiquants de devises et de drogue. Grave. Les dirigeants de ce pays ne fournissent aucun effort pour comprendre les dangers et les subtilités de la coopération internationale. Les autorités comoriennes auraient dû lire le regretté Tibor Mende, surtout quand il s’interroge sur l’aide internationale: «Qui aide qui et pourquoi?» et «Ce qu’il en coûte d’être aidé». Alors que les autorités comoriennes confondent coopération internationale et aide et assistance, les spécialistes leur disent qu’elles ont entièrement tort. Qu’elles lisent des auteurs comme Brigitte Nouaille-Degorce, Jean-Pierre Cot (…), et elles comprendront qu’elles se plantent d’un bout à un autre.
Les autorités comoriennes ont de la coopération internationale une conception totalement erronée, celle de la mendicité et de la charité. Et c’est ainsi que, sous couvert d’«aide», elles se font tromper par la République populaire de Chine depuis 1975.
Plongées dans leur vision de mendiants internationaux, elles applaudissent quand la Chine leur livre des postes de radio qui ne tiennent que deux semaines ou des tissus en kaki coloré au vert. N’ayant pas compris les subtilités de la diplomatie culturelle, chère au Président Charles de Gaulle, elles acceptent de transmettre chaque jour le journal de la Télévision chinoise, car la République populaire de Chine a installé les studios d’une chaîne de télévision à l’utilité douteuse. La même Chine populaire a poussé la «gentillesse» jusqu’à imposer aux Comores ses programmes de télévision en swahili, comme si tous les Comoriens comprenaient le swahili. L’entreprise chinoise Ligo Industrial Co du braconnier M. Cheng décime les concombres de mer à Mohéli, dans une zone maritime protégée.
Mais, il y a pire: les Comores sont devenues un champ d’expérimentation de poisons pompeusement baptisés «médicaments» et qui sont mis à la disposition de la population sans homologation par les autorités pharmaceutiques comoriennes. D’ailleurs, comment aurait-il pu en être autrement quand ce sont les pharmaciens au pouvoir, à la Présidence de la République et dans les ministères, qui ont coulé la Pharmacie nationale autonome des Comores (PNAC), en toute impunité? Quand le je-m’en-foutisme atteint de telles proportions, elle devient synonyme de crime. Mais, les autorités comoriennes peuvent aller se faire traiter ailleurs, avec de vrais médicaments et de vrais médecins. Alors, qu’une grand-mère comorienne meure en avalant des poisons, cela n’intéresse aucune autorité. Qu’un autre Comorien meure de la même façon, c’est exactement comme un rat crevait dans des égouts. Continuez, Messieurs les dirigeants, continuez!
En attendant, il serait temps de faire l’inventaire de ce que la coopération chinoise apporte aux Comores. Et, au moment de cet inventaire, les dirigeants comoriens doivent avoir en mémoire le proverbe comorien: «Ce qui est gratuit est cher».
Par ARM
© www.lemohelien.com – Vendredi 8 novembre 2013.
L’Union des Comores, l’homme malade de l’océan Indien occidental, un État vivant de mendicité internationale, de trafics divers, dont celui de passeports, vendus à des terroristes, à des trafiquants de devises et de drogue. Grave. Les dirigeants de ce pays ne fournissent aucun effort pour comprendre les dangers et les subtilités de la coopération internationale. Les autorités comoriennes auraient dû lire le regretté Tibor Mende, surtout quand il s’interroge sur l’aide internationale: «Qui aide qui et pourquoi?» et «Ce qu’il en coûte d’être aidé». Alors que les autorités comoriennes confondent coopération internationale et aide et assistance, les spécialistes leur disent qu’elles ont entièrement tort. Qu’elles lisent des auteurs comme Brigitte Nouaille-Degorce, Jean-Pierre Cot (…), et elles comprendront qu’elles se plantent d’un bout à un autre.
Les autorités comoriennes ont de la coopération internationale une conception totalement erronée, celle de la mendicité et de la charité. Et c’est ainsi que, sous couvert d’«aide», elles se font tromper par la République populaire de Chine depuis 1975.
Plongées dans leur vision de mendiants internationaux, elles applaudissent quand la Chine leur livre des postes de radio qui ne tiennent que deux semaines ou des tissus en kaki coloré au vert. N’ayant pas compris les subtilités de la diplomatie culturelle, chère au Président Charles de Gaulle, elles acceptent de transmettre chaque jour le journal de la Télévision chinoise, car la République populaire de Chine a installé les studios d’une chaîne de télévision à l’utilité douteuse. La même Chine populaire a poussé la «gentillesse» jusqu’à imposer aux Comores ses programmes de télévision en swahili, comme si tous les Comoriens comprenaient le swahili. L’entreprise chinoise Ligo Industrial Co du braconnier M. Cheng décime les concombres de mer à Mohéli, dans une zone maritime protégée.
Mais, il y a pire: les Comores sont devenues un champ d’expérimentation de poisons pompeusement baptisés «médicaments» et qui sont mis à la disposition de la population sans homologation par les autorités pharmaceutiques comoriennes. D’ailleurs, comment aurait-il pu en être autrement quand ce sont les pharmaciens au pouvoir, à la Présidence de la République et dans les ministères, qui ont coulé la Pharmacie nationale autonome des Comores (PNAC), en toute impunité? Quand le je-m’en-foutisme atteint de telles proportions, elle devient synonyme de crime. Mais, les autorités comoriennes peuvent aller se faire traiter ailleurs, avec de vrais médicaments et de vrais médecins. Alors, qu’une grand-mère comorienne meure en avalant des poisons, cela n’intéresse aucune autorité. Qu’un autre Comorien meure de la même façon, c’est exactement comme un rat crevait dans des égouts. Continuez, Messieurs les dirigeants, continuez!
En attendant, il serait temps de faire l’inventaire de ce que la coopération chinoise apporte aux Comores. Et, au moment de cet inventaire, les dirigeants comoriens doivent avoir en mémoire le proverbe comorien: «Ce qui est gratuit est cher».
Par ARM
© www.lemohelien.com – Vendredi 8 novembre 2013.