La 38ème édition du festival de l’Eucoco se tient à Rome les 15 et 16 novembre 2013. Cette conférence européenne de coordination de souti...
La 38ème édition du festival de l’Eucoco se tient à Rome les 15 et 16 novembre 2013.
Cette conférence européenne de coordination de soutien au soit-disant peuple sahraoui, ou plutôt ce bal de guinguette, devrait regrouper des individus et ONG’s connus pour leur hostilité envers le Maroc et en quête de financements algériens.
Il est vrai, que les responsables algériens viennent de débloquer un budget spécial de 750 millions de dollars à des fins de déstabilisation du Royaume du Maroc et de porter atteinte à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale.
Des participants à ce bal de guinguette qui prétendent honteusement travailler sur la situation des séquestrés des camps de la honte de Tindouf en territoire algérien.
Et pourtant aucun d’entre eux n’a pu visiter librement ces camps de Tindouf et présenter un rapport objectif sur les conditions inhumaines dans lesquelles les sahraouis séquestrés sont obligés de vivre et le détournement des aides internationales qui leurs sont destinées par les responsables algériens et polisariens.
Une situation qui n’a fait que s’empirer avec le temps au point qu’on assiste à une hémorragie dans les camps de la honte de Tindouf. Les plus chanceux arrivent à rejoindre le Royaume du Maroc, d’autres, malheureusement, s’embrigadent, avec la bénédiction des responsables du polisario et des services algériens, dans les mouvements terroristes qui pullulent le Sud algérien et la zone sahélo-saharienne. Un embrigadement des séquestrés sahraouis des camps de Tindouf qui permet aux responsables algériens et polisariens de s’enrichir.
Un phénomène qui a amené de nombreux Think Tank à souligner la gravité de l’existence d’un réel danger de développement des activités terroristes islamistes à partir des camps de Tindouf. Des préoccupations qui ont été confortées par un rapport publié, le 13 mars 2013, par la Fondation «Carnegie Endowment», qui révèle que, et je cite, «le Sahara occidental est une zone critique qui pourrait rapidement devenir le théâtre des activités de réseaux criminels et terroristes qui menacent le Sahel».
En effet, tout le Sud algérien, devenu hors de contrôle, constitue la plaque tournante du trafic de drogue, de contrebande, de circulation d’armes et du trafic d’êtres humains.
Un contexte idoine qui a permis à Al Qaïda au Maghreb Islamique d’étendre son influence dans la région et de se doter d’un potentiel de déstabilisation et d’étendre, grâce à ses multiples contacts dans le Sahel, son partenariat avec les contrebandiers des camps de réfugiés sahraouis de Tindouf. Une fusion polisario-terrorisme-criminali
Cette conférence européenne de coordination de soutien au soit-disant peuple sahraoui, ou plutôt ce bal de guinguette, devrait regrouper des individus et ONG’s connus pour leur hostilité envers le Maroc et en quête de financements algériens.
Il est vrai, que les responsables algériens viennent de débloquer un budget spécial de 750 millions de dollars à des fins de déstabilisation du Royaume du Maroc et de porter atteinte à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale.
Des participants à ce bal de guinguette qui prétendent honteusement travailler sur la situation des séquestrés des camps de la honte de Tindouf en territoire algérien.
Et pourtant aucun d’entre eux n’a pu visiter librement ces camps de Tindouf et présenter un rapport objectif sur les conditions inhumaines dans lesquelles les sahraouis séquestrés sont obligés de vivre et le détournement des aides internationales qui leurs sont destinées par les responsables algériens et polisariens.
Une situation qui n’a fait que s’empirer avec le temps au point qu’on assiste à une hémorragie dans les camps de la honte de Tindouf. Les plus chanceux arrivent à rejoindre le Royaume du Maroc, d’autres, malheureusement, s’embrigadent, avec la bénédiction des responsables du polisario et des services algériens, dans les mouvements terroristes qui pullulent le Sud algérien et la zone sahélo-saharienne. Un embrigadement des séquestrés sahraouis des camps de Tindouf qui permet aux responsables algériens et polisariens de s’enrichir.
Un phénomène qui a amené de nombreux Think Tank à souligner la gravité de l’existence d’un réel danger de développement des activités terroristes islamistes à partir des camps de Tindouf. Des préoccupations qui ont été confortées par un rapport publié, le 13 mars 2013, par la Fondation «Carnegie Endowment», qui révèle que, et je cite, «le Sahara occidental est une zone critique qui pourrait rapidement devenir le théâtre des activités de réseaux criminels et terroristes qui menacent le Sahel».
En effet, tout le Sud algérien, devenu hors de contrôle, constitue la plaque tournante du trafic de drogue, de contrebande, de circulation d’armes et du trafic d’êtres humains.
Un contexte idoine qui a permis à Al Qaïda au Maghreb Islamique d’étendre son influence dans la région et de se doter d’un potentiel de déstabilisation et d’étendre, grâce à ses multiples contacts dans le Sahel, son partenariat avec les contrebandiers des camps de réfugiés sahraouis de Tindouf. Une fusion polisario-terrorisme-criminali
Je rappellerai aux lecteurs, que dans la katiba d’AQMI qui a revendiqué le meurtre, le 04 novembre 2013, des deux journalistes français de RFI près de Kidal au Mali, y figurent 25 sahraouis des camps de Tindouf. Plus de 700 autres sont éparpillés dans divers groupes terroristes, dont celui commandé par Mokhtar Belmokhtar, mais également au sein d’Ansar Eddine et du MUJAO qui mènent des activités terroristes, y compris les enlèvements, le trafic de drogue et d'armes.
Par ailleurs, on ne peut passer sous silence le fait que des éléments sahraouis ont directement participé à la séquestration de Rossella Urru, survenue à Tindouf, le 23 octobre 2010, et de Maria Sandra Mariani, dans le sud de l'Algérie, le 2 février 2011.
C’est pour toutes ces raisons, que les médias italiens, s'ils cautionnent un tel bal de guinguette, se rendraient complices de soutien à des organisations terroristes et d’atteintes aux Droits de l’Homme dans les camps des séquestrés de Tindouf. Une réalité, dénoncée par Gilles de Kherchove, Coordinateur Européen pour la lutte contre le terrorisme.
On ne peut également occulter la décision prise par les responsables algériens de prendre en charge le financement de cette Conférence, qui est plus un bal de guinguette, auquel participeront quelques personnes et ONG’s en banqueroute financière, tout comme sa prédécesseur à Séville.
Aussi, tant que les responsables algériens actuels, recroquevillés sur eux-mêmes et toujours confinés dans l'esprit de la Guerre Froide, restent aux gouvernes, rien de sérieux ne pourra se faire ou se construire avec ce pays.
Farid Mnebhi.