L'équipe de France a tout balayé sur son passage pour se qualifier pour la Coupe du monde au Brésil : l'Ukraine (3-0) et les doutes....
L'équipe de France a tout balayé sur son passage pour se qualifier pour la Coupe du monde au Brésil : l'Ukraine (3-0) et les doutes. Les Bleus, qui ont évolué en supériorité numérique toute la seconde période, ont effacé la défaite de Kiev (2-0) grâce à Sakho (22e), Benzema (34e) et Gusev contre son camp (71e). Inoubliable soirée.
Il fallait un match parfait. Ils l’ont fait. Grâce à un retournement de situation aussi improbable que spectaculaire face à l’Ukraine, les Bleus ont décroché avec un cœur énorme leur billet pour la Coupe du monde brésilienne et participeront à leur cinquième Mondial consécutif. Tout près du précipice après le match aller (2-0), les hommes de Deschamps se sont remis à l’endroit (3-0) dans un stade de France euphorique. Comme un symbole, ce sont Sakho et Benzema, remplaçants à l’aller, qui ont montré la voie. Mais c’est un but contre son camp de Gusev qui a définitivement qualifié des Bleus transfigurés. L’expulsion sévère de Hacherydy à la 47e minute a certes facilité leur tâche mais ils sont allés chercher cette qualification avec l’état d’esprit qui leur avait fait défaut à Kiev.
L’Ukraine, qui n’avait plus encaissé de but depuis huit matches, a été balayée. Techniquement, dans l’envie, la France a dévoré son match. A l’image de l’ouverture du score de Sakho après une frappe de Ribéry repoussée (22e). La peur a alors changé de camp. Et si Benzema a vu son premier but injustement refusé pour un hors-jeu imaginaire, le Madrilène a profité des absences du juge de touche pour se venger sur un service de Valbuena (34e).
Il fallait un match parfait. Ils l’ont fait. Grâce à un retournement de situation aussi improbable que spectaculaire face à l’Ukraine, les Bleus ont décroché avec un cœur énorme leur billet pour la Coupe du monde brésilienne et participeront à leur cinquième Mondial consécutif. Tout près du précipice après le match aller (2-0), les hommes de Deschamps se sont remis à l’endroit (3-0) dans un stade de France euphorique. Comme un symbole, ce sont Sakho et Benzema, remplaçants à l’aller, qui ont montré la voie. Mais c’est un but contre son camp de Gusev qui a définitivement qualifié des Bleus transfigurés. L’expulsion sévère de Hacherydy à la 47e minute a certes facilité leur tâche mais ils sont allés chercher cette qualification avec l’état d’esprit qui leur avait fait défaut à Kiev.
L’Ukraine, qui n’avait plus encaissé de but depuis huit matches, a été balayée. Techniquement, dans l’envie, la France a dévoré son match. A l’image de l’ouverture du score de Sakho après une frappe de Ribéry repoussée (22e). La peur a alors changé de camp. Et si Benzema a vu son premier but injustement refusé pour un hors-jeu imaginaire, le Madrilène a profité des absences du juge de touche pour se venger sur un service de Valbuena (34e).