ANTANANARIVO, 27 juillet 2013 (AFP) - La gendarmerie malgache a annoncé vendredi l'arrestation des auteurs présumés d'une tentati...
ANTANANARIVO, 27 juillet 2013 (AFP) - La gendarmerie malgache a annoncé vendredi l'arrestation des auteurs présumés d'une tentative de complot pour renverser le régime du président Andry Rajoelina en provoquant un "bain de sang" lors de manifestations samedi dans la capitale. "Nous avons arrêté un agent de la gendarmerie et un policier", a indiqué à l'AFP le commandant de la circonscription interrégionale de la gendarmerie d'Antananarivo, le colonel Florens Rakotomahanina.
"La population peut maintenant vaquer librement à ses occupations ce samedi", a-t-il ajouté. De leur côté, les organisateurs d'une manifestation prévue dans le stade d'Antsahamanitra ont annulé l'événement en raison de "l'arrivée tardive de l'autorisation et de la polémique autour de cette manifestation", a indiqué Rainidina Rajoharison, porte-parole d'un groupe de soutien à une résolution du Conseil oecuménique des Eglises de Madagascar souhaitant indirectement le départ de M. Rajoelina. Les Eglises elle-mêmes n'appelaient pas à manifester et avaient pris leur distance avec ce rassemblement. Lundi, une manifestation non autorisée organisée par un candidat à la présidentielle, Laza Razafiarison, avait été dispersée avec des gaz lacrymogènes et ce dernier mis en prison. tm-clr/sd
"La population peut maintenant vaquer librement à ses occupations ce samedi", a-t-il ajouté. De leur côté, les organisateurs d'une manifestation prévue dans le stade d'Antsahamanitra ont annulé l'événement en raison de "l'arrivée tardive de l'autorisation et de la polémique autour de cette manifestation", a indiqué Rainidina Rajoharison, porte-parole d'un groupe de soutien à une résolution du Conseil oecuménique des Eglises de Madagascar souhaitant indirectement le départ de M. Rajoelina. Les Eglises elle-mêmes n'appelaient pas à manifester et avaient pris leur distance avec ce rassemblement. Lundi, une manifestation non autorisée organisée par un candidat à la présidentielle, Laza Razafiarison, avait été dispersée avec des gaz lacrymogènes et ce dernier mis en prison. tm-clr/sd