Marc Ravalomanana, ancien président de Madagascar, glissant son bulletin dans l'urne en décembre 2006. Gettyimages/Bloomberg. ...
Au lieu de disqualifier le président de la Transition-candidat, comme elle en a le pouvoir, la Cour électorale spéciale (CES) a préféré se rendre à l'évidence : la situation est « imprévisible », « insurmontable », écrit-elle dans sa décision.
Andry Rajoelina, Lalao Ravalomanana, la femme du président déchu, et Didier Ratsiraka, un autre ancien chef d'Etat, ont en effet refusé de retirer leur candidature à la présidentielle comme le leur demande la SADC et l'Union africaine. Ainsi, le financement des élections par la communauté internationale est sérieusement menacé.
Pour la CES, les risques de « conflit politique » sont de plus en plus forts. Il y a donc cas de force majeure, dit-elle. Et c'est l'une des deux seules situations qui, selon la loi malgache, contraint à reporter les élections. Théoriquement, c'est désormais au gouvernement d'entériner cette décision. A la Commission électorale ensuite de décider d'un nouveau calendrier. Par RFI
Andry Rajoelina, Lalao Ravalomanana, la femme du président déchu, et Didier Ratsiraka, un autre ancien chef d'Etat, ont en effet refusé de retirer leur candidature à la présidentielle comme le leur demande la SADC et l'Union africaine. Ainsi, le financement des élections par la communauté internationale est sérieusement menacé.
Pour la CES, les risques de « conflit politique » sont de plus en plus forts. Il y a donc cas de force majeure, dit-elle. Et c'est l'une des deux seules situations qui, selon la loi malgache, contraint à reporter les élections. Théoriquement, c'est désormais au gouvernement d'entériner cette décision. A la Commission électorale ensuite de décider d'un nouveau calendrier. Par RFI
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