L'alimentation L’alimentation doit être variée, fractionnée, riche en fruits et légumes (pour les fibres et ainsi favoriser le tr...
L'alimentation
L’alimentation doit être variée, fractionnée, riche en fruits et légumes (pour les fibres et ainsi favoriser le transit), riche en calcium et en iode, avec des apports hydriques quotidiens d’environ 1,5L. Il faudra absolument éviter (et ce malgré les « petites envies ») les aliments trop sucrés (sucreries) et trop gras.
L’activité physique
Pratiquer une activité sportive durant la grossesse est tout à fait possible. Ses avantages sont multiples avec un bénéfice pour le cœur, pour le poids, pour favoriser le transit, pour tranquilliser l’esprit, etc… En revanche, le sport ne doit pas être pratiqué dans une optique de performance mais seulement d’entretien, et ce, y compris si la patiente est une grande sportive en dehors de la grossesse.
source : lefigaro.fr
L’alimentation doit être variée, fractionnée, riche en fruits et légumes (pour les fibres et ainsi favoriser le transit), riche en calcium et en iode, avec des apports hydriques quotidiens d’environ 1,5L. Il faudra absolument éviter (et ce malgré les « petites envies ») les aliments trop sucrés (sucreries) et trop gras.
Votre prise de poids doit être surveillée (mensuellement, lors des
consultations). Il faudra veiller à ne pas dépasser les kilos autorisés
(9 à 12 kg pour une grossesse unique).
Une supplémentation en acide folique avant et pendant la période de conception (jusqu’à un mois après la conception) est recommandée, ainsi qu’une supplémentation en fer si la patiente présente une anémie (baisse de l’hémoglobine).
Par ailleurs, l’alimentation est une source potentielle de germes qui peuvent être dangereux pour le fœtus (listériose, salmonellose, toxoplasmose). Pour plus d’informations, se reporter à l’item « L’alimentation pendant la grossesse).
Une supplémentation en acide folique avant et pendant la période de conception (jusqu’à un mois après la conception) est recommandée, ainsi qu’une supplémentation en fer si la patiente présente une anémie (baisse de l’hémoglobine).
Par ailleurs, l’alimentation est une source potentielle de germes qui peuvent être dangereux pour le fœtus (listériose, salmonellose, toxoplasmose). Pour plus d’informations, se reporter à l’item « L’alimentation pendant la grossesse).
L’activité physique
Pratiquer une activité sportive durant la grossesse est tout à fait possible. Ses avantages sont multiples avec un bénéfice pour le cœur, pour le poids, pour favoriser le transit, pour tranquilliser l’esprit, etc… En revanche, le sport ne doit pas être pratiqué dans une optique de performance mais seulement d’entretien, et ce, y compris si la patiente est une grande sportive en dehors de la grossesse.
Quelques règles simples sont à appliquer afin de pratiquer un sport en toute sécurité :
L’important lorsque l’on pratique une activité sportive est d’écouter son corps, de ne pas trop vouloir en faire. Si des douleurs apparaissent, il vaut mieux arrêter l’effort et attendre que cela disparaisse ou s’orienter vers une autre activité sportive. Au moindre doute, il faudra demander l’avis du corps médical sur la possibilité de pratiquer tel ou tel sport.
Les médicaments
Le grand principe avec les médicaments : n’en prendre aucun sans l’avis du médecin ou de la sage-femme. Beaucoup sont contre-indiqués tout au long de la grossesse, certains semble anodins (anti-inflammatoires en ventes libres) et sont pourtant dangereux, et a contrario, d’autres peuvent être pris tout au long de la grossesse sans risque (paracétamol ou phloroglucinol).
- il faut éviter les efforts trop longs (30-40 minutes semblent suffisantes),
- il faut bien s’hydrater,
- il faut privilégier les sports ne faisant pas « trop » travailler les abdominaux,
- il faut être équipé avec des vêtements adéquats (notamment soutien-gorge),
- il faut bien-sûr éviter tout choc pouvant mettre en danger le fœtus.
- la marche
- le vélo : à condition de pratiquer sur un sol sans obstacle.
- la natation : il s’agit d’un sport très complet, où la patiente est soulagée de son propre poids.
- Le yoga ou les gymnastiques souples.
L’important lorsque l’on pratique une activité sportive est d’écouter son corps, de ne pas trop vouloir en faire. Si des douleurs apparaissent, il vaut mieux arrêter l’effort et attendre que cela disparaisse ou s’orienter vers une autre activité sportive. Au moindre doute, il faudra demander l’avis du corps médical sur la possibilité de pratiquer tel ou tel sport.
Les médicaments
Le grand principe avec les médicaments : n’en prendre aucun sans l’avis du médecin ou de la sage-femme. Beaucoup sont contre-indiqués tout au long de la grossesse, certains semble anodins (anti-inflammatoires en ventes libres) et sont pourtant dangereux, et a contrario, d’autres peuvent être pris tout au long de la grossesse sans risque (paracétamol ou phloroglucinol).
Au moindre doute, il faut demander l’avis du corps médical.
La vie de tous les jours
La vie de tous les jours
Tabac :
Les patientes enceintes doivent éviter de se trouver dans des endroits
enfumés, représentant un facteur de risque de tabagisme passif. Bien
entendu, tout tabagisme actif est à proscrire pendant la grossesse (et
avant, et après !). Des aides concernant le sevrage sont à la
disposition des patientes et tout à fait possible durant la grossesse :
il n’est jamais trop tard pour arrêter !
Cannabis, alcool, toxicomanie : tous ces comportements addictifs sont à proscrire du fait de leur dangerosité sur le fœtus. Des aides sont disponibles, et il faut en parler à son médecin ou à la sage-femme.
Café, thé et autres excitants : leur consommation est tout à fait possible pendant la grossesse, mais avec modération.
Animaux de compagnies : il n’y a pas de contre-indication à avoir des animaux de compagnie sous son toit. Il faut s’assurer que leurs vaccinations sont à jour, que les traitements anti-parasitaires ont été administrés. Concernant les chats, si la patiente n’est pas immunisée contre la toxoplasmose, elle devra éviter de manipuler la litière (ou de la terre contaminée par d’éventuelles déjections félines), et éviter au maximum les contacts avec les chats.
Transports et voyages éventuels : il faut éviter ainsi les voyages longs et pénibles, répétitifs qui peuvent amener l’utérus à contracter. Le voyage en voiture ou en train est possible quel que soit le terme (même si aux alentours de la date du terme, il faudra éviter de voyager trop loin de son lieu d’accouchement). Concernant l’avion, chaque compagnie aérienne fixe les termes maximums pour embarquer.
Rapports sexuels : ils ne sont bien sûr pas contre-indiqués. Ils sont possibles tout au long de la grossesse. Cependant, dans certains cas, il existe toutefois des contre-indications (menace d’accouchement prématuré, saignements vaginaux).
Il faut garder en mémoire qu’au moindre doute, le corps médical est là pour répondre à vos doutes et interrogations. N’hésitez pas !
Cannabis, alcool, toxicomanie : tous ces comportements addictifs sont à proscrire du fait de leur dangerosité sur le fœtus. Des aides sont disponibles, et il faut en parler à son médecin ou à la sage-femme.
Café, thé et autres excitants : leur consommation est tout à fait possible pendant la grossesse, mais avec modération.
Animaux de compagnies : il n’y a pas de contre-indication à avoir des animaux de compagnie sous son toit. Il faut s’assurer que leurs vaccinations sont à jour, que les traitements anti-parasitaires ont été administrés. Concernant les chats, si la patiente n’est pas immunisée contre la toxoplasmose, elle devra éviter de manipuler la litière (ou de la terre contaminée par d’éventuelles déjections félines), et éviter au maximum les contacts avec les chats.
Transports et voyages éventuels : il faut éviter ainsi les voyages longs et pénibles, répétitifs qui peuvent amener l’utérus à contracter. Le voyage en voiture ou en train est possible quel que soit le terme (même si aux alentours de la date du terme, il faudra éviter de voyager trop loin de son lieu d’accouchement). Concernant l’avion, chaque compagnie aérienne fixe les termes maximums pour embarquer.
Rapports sexuels : ils ne sont bien sûr pas contre-indiqués. Ils sont possibles tout au long de la grossesse. Cependant, dans certains cas, il existe toutefois des contre-indications (menace d’accouchement prématuré, saignements vaginaux).
Il faut garder en mémoire qu’au moindre doute, le corps médical est là pour répondre à vos doutes et interrogations. N’hésitez pas !