Pas d’annonce surprise lors du grand oral de François Hollande à l’occasion de la conférence de la 67ème Assemblée générale de l’ONU, ré...
Pas d’annonce surprise lors du grand oral de François Hollande à
l’occasion de la conférence de la 67ème Assemblée générale de l’ONU,
réunie à New York. Le président français a appelé à une intervention
militaire et rapide pour régler les crises des deux pays.
A l’occasion de son premier discours en tant que président de la République devant la 67ème conférence de l’Assemblée générale de l’ONU, François Hollande a appelé à la mobilisation internationale autour du Mali et de la Syrie.
« L’urgence c’est d’abord la Syrie, » a-t-il déclaré, car « chaque jour plus de 4 000 hommes, femmes, enfants sont victimes de la répression aveugle ».
Sur le dossier syrien, le président français s’est engagé en faveur de l’opposition syrienne, affirmant que la France reconnaîtra « le gouvernement provisoire, représentatif de la nouvelle Syrie libre, lorsqu’il sera formé ».
« Il n'y a pas de temps à perdre, » a déclaré le président.
Mais quelques jours après que les islamistes du nord Mali aient menacé la France de tuer les quatre otages français détenus au Mali si elle continuait dans son projet d’aide à l’intervention. « La nécessité de libérer nos otages ne doit pas passer par un renoncement à assurer l'intégrité du Mali, » a affirmé François Hollande.
Source : jolpress.com
A l’occasion de son premier discours en tant que président de la République devant la 67ème conférence de l’Assemblée générale de l’ONU, François Hollande a appelé à la mobilisation internationale autour du Mali et de la Syrie.
« l’urgence c’est d’abord la Syrie »
Comme prévu, François Hollande a voulu se montrer volontaire face aux enjeux internationaux de ces deux pays. Il faut « agir vite, car il y a urgence, et agir ensemble, » a-t-il déclaré devant les représentants de chaque pays membre.« L’urgence c’est d’abord la Syrie, » a-t-il déclaré, car « chaque jour plus de 4 000 hommes, femmes, enfants sont victimes de la répression aveugle ».
Sur le dossier syrien, le président français s’est engagé en faveur de l’opposition syrienne, affirmant que la France reconnaîtra « le gouvernement provisoire, représentatif de la nouvelle Syrie libre, lorsqu’il sera formé ».
Intervenir rapidement au Mali
Autre dossier abordé lors du discours de François Hollande, celui de l’intervention au Mali, pour laquelle la France a affirmé vouloir s’engager en fournissant une aide matérielle et logistique aux forces africaines.« Il n'y a pas de temps à perdre, » a déclaré le président.
Mais quelques jours après que les islamistes du nord Mali aient menacé la France de tuer les quatre otages français détenus au Mali si elle continuait dans son projet d’aide à l’intervention. « La nécessité de libérer nos otages ne doit pas passer par un renoncement à assurer l'intégrité du Mali, » a affirmé François Hollande.
Source : jolpress.com
COMMENTAIRES