Palais de justice de Moroni L'enquête sur le meurtre de Malouzini est dans l 'impasse,» a admis le procureur de la république You...
Palais de justice de Moroni |
L'enquête sur le meurtre de Malouzini est dans l 'impasse,» a admis le procureur de la république Youssouf Ali Djaé. Toujours aucune famille ne s'est manifestée pour identifier la victime, plus d'une semaine après la publication de la photo par la justice dans le cadre d'un appel à identification. Les enquêteurs privilégieraient maintenant l'hypothèse d'une étrangère. « Mais rien n'est sûr, » a précisé Ali Djaé. S'agissant du tueur, les investigations continuent, a assuré le procureur, mais les enquêteurs ne sont toujours sur aucune piste qui pourrait l es amener à mettre la main le criminel. Inter Les fondamentaux sur l es scènes de crime Les trois experts français dans le domaine des enquêtes criminelles venus épauler les policiers et les gendarmes comoriens qui mènent l'enquête du double crime de Malouzini et Samba Mbodoni, n'ont pu rien faire pour avancer
l'enquête, « parce qu'ils sont venus après que les corps aient été déjà enterrés et il était impossible de prélever des tests ADN qui leur aurait permis de faire leur travail,» a expliqué le magistrat.
Au cours de leur mission aux Comores, les trois experts français ont cependant pu, dit-on, procéder à des évaluations sur ce qui a été réalisé par les enquêteurs comoriens et faire des briefings à travers les deux meurtres. Ils ont aussi pu initier aux gendarmes et policiers chargés des enquêtes les « fondamentaux dans la gestion des scènes des crimes.» Face à cette recrudescence des actes criminels, la France et les Comores vont mettre en place « un entraide judiciaire qui va faciliter les échanges en matière d'enquêtes et de procédures judiciaires,»selon le procureur qui demande, par ailleurs, « la collaboration de tout le monde pour réussir à identifier la victime puis le tueur.»
M.MOINDJIE:albalad
l'enquête, « parce qu'ils sont venus après que les corps aient été déjà enterrés et il était impossible de prélever des tests ADN qui leur aurait permis de faire leur travail,» a expliqué le magistrat.
Au cours de leur mission aux Comores, les trois experts français ont cependant pu, dit-on, procéder à des évaluations sur ce qui a été réalisé par les enquêteurs comoriens et faire des briefings à travers les deux meurtres. Ils ont aussi pu initier aux gendarmes et policiers chargés des enquêtes les « fondamentaux dans la gestion des scènes des crimes.» Face à cette recrudescence des actes criminels, la France et les Comores vont mettre en place « un entraide judiciaire qui va faciliter les échanges en matière d'enquêtes et de procédures judiciaires,»selon le procureur qui demande, par ailleurs, « la collaboration de tout le monde pour réussir à identifier la victime puis le tueur.»
M.MOINDJIE:albalad
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