Ces deux dernières semaines, des rumeurs sur un présumé groupe de malfaiteurs qui erreraient et agiraient clandestinement circulent à ...
Ces deux dernières semaines,
des rumeurs sur un
présumé groupe de malfaiteurs
qui erreraient et
agiraient clandestinement circulent
à Ndzuwani. Ce groupe se serait
constitué de trois ou quatre individus,
non encore identifiés, et qui
s’attaquerait par hasard à des personnes
isolées, sans distinction de
genre.
Dans les milieux officiels en charge
de la sécurité de l’île (police, gendarmerie,
autorité civile de
l’Intérieur), aucune mention relative
à ces malfaiteurs et à leurs agissements.
Cependant, parmi la population,
des gens témoignent avoir déjà
eu affaire avec le groupe.
C’est le cas d’Eldine Saindou, un
homme d’une quarantaine d’année
habitant du village de Moimoi, près
de Mutsamudu, qui dit avoir croisé
leur chemin, l’aube du dimanche 22
janvier, entre Chikoni et Mpouzini,
à quelques encablures de son village.
“Je me rendais au travail. Il était 3
heures du matin. C’est alors que je
des rumeurs sur un
présumé groupe de malfaiteurs
qui erreraient et
agiraient clandestinement circulent
à Ndzuwani. Ce groupe se serait
constitué de trois ou quatre individus,
non encore identifiés, et qui
s’attaquerait par hasard à des personnes
isolées, sans distinction de
genre.
Dans les milieux officiels en charge
de la sécurité de l’île (police, gendarmerie,
autorité civile de
l’Intérieur), aucune mention relative
à ces malfaiteurs et à leurs agissements.
Cependant, parmi la population,
des gens témoignent avoir déjà
eu affaire avec le groupe.
C’est le cas d’Eldine Saindou, un
homme d’une quarantaine d’année
habitant du village de Moimoi, près
de Mutsamudu, qui dit avoir croisé
leur chemin, l’aube du dimanche 22
janvier, entre Chikoni et Mpouzini,
à quelques encablures de son village.
“Je me rendais au travail. Il était 3
heures du matin. C’est alors que je
croise quatre hommes. La clarté de
la lune n’était pas suffisante pour
que j’arrive à identifier leurs visages.
Après les avoir dépassés de
quelques mètres, deux d’entre eux
m’ont poursuivi par derrière, m’ont
attrapé par le col et m’ont jeté par
terre. Heureusement, au même
instant, l’ambulance du centre de
soin de Pomoni passait. Ses occupants
nous ont aperçu et se sont
arrêtés. C’est grâce à eux que je
suis encore là. Mes assaillants sont
toutefois parvenus à s’enfuir sans
laisser de traces”, raconte ce père
de famille.
Eldine travaille comme camionneur
à Bandrani Mtsangani, village situé
à une dizaine de kilomètres de
Moimoi. Il s’y rend tous les jours à
pieds, et doit donc partir à l’aube.
Notons également qu’il y a deux
semaines, une femme qui s’apprêtait
à aller prendre un Kwasa à
Domoni pour Mayotte a été violemment
agressée et dépouillée de son
or par un groupe d’inconnus, près
du village de Ngadzale.
Sm:alwatwan
la lune n’était pas suffisante pour
que j’arrive à identifier leurs visages.
Après les avoir dépassés de
quelques mètres, deux d’entre eux
m’ont poursuivi par derrière, m’ont
attrapé par le col et m’ont jeté par
terre. Heureusement, au même
instant, l’ambulance du centre de
soin de Pomoni passait. Ses occupants
nous ont aperçu et se sont
arrêtés. C’est grâce à eux que je
suis encore là. Mes assaillants sont
toutefois parvenus à s’enfuir sans
laisser de traces”, raconte ce père
de famille.
Eldine travaille comme camionneur
à Bandrani Mtsangani, village situé
à une dizaine de kilomètres de
Moimoi. Il s’y rend tous les jours à
pieds, et doit donc partir à l’aube.
Notons également qu’il y a deux
semaines, une femme qui s’apprêtait
à aller prendre un Kwasa à
Domoni pour Mayotte a été violemment
agressée et dépouillée de son
or par un groupe d’inconnus, près
du village de Ngadzale.
Sm:alwatwan
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