Les avocats de Miradji Abdou, ex-président-directeur général de l'Autorité portuaire des Comores (APC), ont dénoncé « la grave agressi...
Les avocats de Miradji Abdou, ex-président-directeur général de l'Autorité portuaire des Comores (APC), ont dénoncé « la grave agression » dont a été victime leur client, en prison. Me Mihidhoir Mohamed Abidi, Me Ahamada Mohamed Baco et Me Mouhoutoire Issa s'exprimaient au cours d'un point de presse, à Moroni, lundi.
On lui aurait lancé a « de la manière la plus violente » une bouteille remplie d'eau au niveau de la colonne vertébrale, au point de « lui faire perdre connaissance ». L'incident a eu lieu au moment où l'intéressé s'apprêtait à faire ses ablutions, selon les avocats.
«Nous ne connaissons pas encore l'agresseur », confie Me Abidi qui a laissé entendre que l’ancien chef de l’autorité portuaire va porter plainte contre X. il espère, par cette occasion qu’une enquête va être ouverte, pour identifier l’agresseur et connaître le mobile de cet acte. «
Me Baco, lui, va plus loin : « il s'agit d'une tentative de meurtre avérée. Il reste à savoir pour qui profite le crime ». Les avocats de Miradji imaginent que les événements dramatiques du Madjiriha seraient à l'origine de la «montée des sentiments hostiles » contre Miradji Abdou. Rappelons que Miradji Abdou et son collègue Mohamed Fakihi qui avaient été placés en détention provisoire, ont bénéficié d'une mise en liberté provisoire, du juge d'instruction, assortie de contrôle judiciaire et d'interdiction de quitter le territoire.
On lui aurait lancé a « de la manière la plus violente » une bouteille remplie d'eau au niveau de la colonne vertébrale, au point de « lui faire perdre connaissance ». L'incident a eu lieu au moment où l'intéressé s'apprêtait à faire ses ablutions, selon les avocats.
«Nous ne connaissons pas encore l'agresseur », confie Me Abidi qui a laissé entendre que l’ancien chef de l’autorité portuaire va porter plainte contre X. il espère, par cette occasion qu’une enquête va être ouverte, pour identifier l’agresseur et connaître le mobile de cet acte. «
Me Baco, lui, va plus loin : « il s'agit d'une tentative de meurtre avérée. Il reste à savoir pour qui profite le crime ». Les avocats de Miradji imaginent que les événements dramatiques du Madjiriha seraient à l'origine de la «montée des sentiments hostiles » contre Miradji Abdou. Rappelons que Miradji Abdou et son collègue Mohamed Fakihi qui avaient été placés en détention provisoire, ont bénéficié d'une mise en liberté provisoire, du juge d'instruction, assortie de contrôle judiciaire et d'interdiction de quitter le territoire.
MMADIMOINDIIE
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