Une enquête pour homicide involontaire, complicité et non assistance à personnes en danger, est ouverte sur le naufrage du Majriha, selon le...
Une enquête pour homicide involontaire, complicité et non assistance à personnes en danger, est ouverte sur le naufrage du Majriha, selon le procureur de la République, Soilih Mahamoud.
« L'enquête a été ouverte durant les heures qui ont suivi l'accident et nous reconstituons tous les éléments », a indiqué le procureur. D'après l ui, aucune victime ne portait un gilet de sauvetage. C'est anormal qu'un bateau assurant un tel trafic ne dispose pas de gilets de secours (...) On va poursuivre l'armateur et tous ceux qui ont une part de responsabilité sur ce navire, y compris ceux qui y effectuaient les visites techniques», dit-il.Selon des techniciens du transport maritime, le navire qui a chaviré avec plus de 125 passagers, disposait d'une capacité de transport de 70 personnes, maximum.
Ce même navire avait eu des soucis techniques et a été remorqué depuis l e large pour arriver au port de Moroni, il y a quelques jours, selon le communiqué de la cellule de crise publié dans le site de Beit-Salam, aux heures qui ont suivi le drame.
Et c'est lundi soir, après avoir quitté le port de Moroni, que le navire s'est fracassé sur les rochers, dans la région de Badjini, précisément sur les côtes du village de Dzahadjou, après une panne des moteurs.
Le chef de l'Etat, qui a décrété trois jours de deuil, a promis que « les défaillances et les négligences qui entraînent des morts d'hommes seront portées par leurs auteurs, qui en répondront devant la justice ». _AL-HAMDI ABDILLAH
« L'enquête a été ouverte durant les heures qui ont suivi l'accident et nous reconstituons tous les éléments », a indiqué le procureur. D'après l ui, aucune victime ne portait un gilet de sauvetage. C'est anormal qu'un bateau assurant un tel trafic ne dispose pas de gilets de secours (...) On va poursuivre l'armateur et tous ceux qui ont une part de responsabilité sur ce navire, y compris ceux qui y effectuaient les visites techniques», dit-il.Selon des techniciens du transport maritime, le navire qui a chaviré avec plus de 125 passagers, disposait d'une capacité de transport de 70 personnes, maximum.
Ce même navire avait eu des soucis techniques et a été remorqué depuis l e large pour arriver au port de Moroni, il y a quelques jours, selon le communiqué de la cellule de crise publié dans le site de Beit-Salam, aux heures qui ont suivi le drame.
Et c'est lundi soir, après avoir quitté le port de Moroni, que le navire s'est fracassé sur les rochers, dans la région de Badjini, précisément sur les côtes du village de Dzahadjou, après une panne des moteurs.
Le chef de l'Etat, qui a décrété trois jours de deuil, a promis que « les défaillances et les négligences qui entraînent des morts d'hommes seront portées par leurs auteurs, qui en répondront devant la justice ». _AL-HAMDI ABDILLAH
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