Journée Mondiale sans tabac: Le tabagisme, un problème de santé publique à prendre au sérieux Le Représentant de l’OMS par intérim le Dr ...
Journée Mondiale sans tabac: Le tabagisme, un problème de santé publique à prendre au sérieux
Le Représentant de l’OMS par intérim le Dr DIARRA Abdoulaye, a lu la déclaration de la Directrice Régionale de l’OMS Afrique. le Dr Matshidiso Moeti déclare que dans la Région africaine, près de 146 000 adultes âgés de 30 ans au moins meurent chaque année de maladies liées à la consommation de tabac. Elle explique que lorsqu’un fumeur meurt prématurément dans les années où il est le plus productif, c’est sa famille qui perd un être cher et des revenus, et c’est le développement économique qui est ainsi compromis.
Le Représentant de l’OMS par intérim le Dr DIARRA Abdoulaye, a lu la déclaration de la Directrice Régionale de l’OMS Afrique. le Dr Matshidiso Moeti déclare que dans la Région africaine, près de 146 000 adultes âgés de 30 ans au moins meurent chaque année de maladies liées à la consommation de tabac. Elle explique que lorsqu’un fumeur meurt prématurément dans les années où il est le plus productif, c’est sa famille qui perd un être cher et des revenus, et c’est le développement économique qui est ainsi compromis.
Représentant la ministre de la santé, le Directeur de Cabinet a prononcé un discours révélant la gravité de la consommation du tabac en Union des Comores. Monsieur Jaffar Abbas Mohamed a expliqué que les maladies cardiovasculaires tuent davantage de personnes que toute autre cause de décès dans le monde. Il ira jusqu’à affirmer que la consommation de tabac ainsi que l'exposition au tabagisme passif contribuent à raison d'environ 12% de tous les décès dus à une cardiopathie. Selon lui, « le tabagisme est la deuxième cause principale de maladie cardiovasculaire, après l'hypertension artérielle ».
Un problème de santé publique
En effet, le Tabagisme en Union des Comores reste un problème de santé publique, plus particulièrement les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les cancers des poumons lié à la consommation des produits du tabac. « La célébration mondiale incitera sans nulle doute à chacun d’entre nous, autorités politiques, religieuses, villageoises, enseignants, professionnels de santé, grands et petits, hommes et femmes, de participer à ce noble combat afin qu’ensemble nous unissons nos forces pour lutter contre le Tabac, une des principales causes des maladies cardiovasculaires et pneumologiques », souligne-t-il.
La consommation du Tabac dans n’importe quelle forme constitue aujourd’hui une menace très sérieuse des populations dans le monde en général et en Afrique en particulier. C’est pourquoi la communauté internationale est très préoccupée par la morbidité et la mortalité croissante de nos populations autant par les dégâts économiques, sociaux et environnementaux qu’entraine l’usage du Tabac. Cependant le Tabac est beaucoup consommé dans notre pays détruisant lentement mais surement la santé de nos communautés par plusieurs maladies qu’on peut éviter en s’abstenant l’usage du Tabac.
Le Représentant de l’OMS par interim le Dr DIARRA Abdoulaye, a lu la déclaration de la Directrice Régionale de l’OMS Afrique. le Dr Matshidiso Moeti declare que dans la Région africaine, près de 146 000 adultes âgés de 30 ans au moins meurent chaque année de maladies liées à la consommation de tabac. Elle explique que lorsqu’un fumeur meurt prématurément dans les années où il est le plus productif, c’est sa famille qui perd un être cher et des revenus, et c’est le développement économique qui est ainsi compromis.
L’OMS Afrique à travers cette déclaration appelle les politiques visant à réguler la consommation de tabac, à promouvoir les espaces non-fumeurs et à encourager les fumeurs à arrêter de fumer contribueront à améliorer la santé et le bien-être des populations. Il faut pour ce faire un leadership fort, de l’engagement politique et une société civile éclairée qui demande instamment des politiques favorisant la santé cardiaque et le droit à la santé.
L’OMS Afrique à travers cette declaration appelle les politiques visant à réguler la consommation de tabac, à promouvoir les espaces non-fumeurs et à encourager les fumeurs à arrêter de fumer contribueront à améliorer la santé et le bien-être des populations. Il faut pour ce faire un leadership fort, de l’engagement politique et une société civile éclairée qui demande instamment des politiques favorisant la santé cardiaque et le droit à la santé.
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