En résumé, M. Aboudou soefo: " Il a participé à un détournement de deniers publics, sans enrichissement personnel, juste le financemen...
En résumé, M. Aboudou soefo: "Il a participé à un détournement de deniers publics, sans enrichissement personnel, juste le financement de campagne de son Parti CRC". En tant que SG du CRC, il a écopé deux ans de prison ferme. Il exhorte le CPAN de consulter, en cas de nécessité dans les Assises, l'Arrêt de la Cour d'appel de Moroni.
Au-delà du "droit d'oubli", peut-on estimer que Monsieur, Aboudou Soefo, sollicite une réhabilitation dans les Assises, dans un premier temps. Et, dans un deuxième temps, est-ce qu' il demande la CRC de lui dédommager, le fait d'avoir été sacrifié pour le financement du Parti?
Imaginons, si les suspects qui ont échappé la justice, rédigent des Articles, des Tribunes...., que sais-je, pour démontrer que leurs détournements étaient basés à la survie de leur famille et leur existence. N'est-ce pas un argument, nécessitant l'équité du CPAN, de pardonner et réhabiliter, ceux qui vont plaider coupable dans les Assises.
Sir Aboudou Soefo semble posé, ou sollicité un principe: " le détournement de fonds publics sans enrichissement personnel, ne devrait plus être défini comme vol". Il sollicite cette jurisprudence:
"n'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un acte nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a disproportion entre les moyens employés et la menace".
Monsieur Soefo démontre la nécessité du détournement pour l'intégrité territoriale, et la cohésion nationale, concourue par la CRC. Mohamed Hadji