Mois après mois, les 200.000 (1/4 de la population Comorienne) vivant en France reversent une partie de leur salaire à leurs proches, resté...
Mois après mois, les 200.000 (1/4 de la population Comorienne) vivant en France reversent une partie de leur salaire à leurs proches, restés au pays. Une aide qui permet de financer le grand mariage, nourrir la famille élargie et qui s'avère indispensable pour financer les infrastructures dans leur village d'origine
Chaque année, ils envoient vers les Comores plus de cinq milliards de d'euros, c’est à dire largement plus que les sommes provenant de l’aide publique au développement et des investissements directs étrangers qui rendent les trois îles des Comores si dépendant, et entretiennent cette image de quémandeuse, et de pauvreté.
Et pourtant, rien ou presque n’est fait pour que ces transferts de la diaspora qui stimulent en partie la consommation dans la classe moyenne soient investis de façon efficiente dans les économies du pays.
Comment procéder pour que cette impressionnante manne financière et cette immense ressource humaine des comoriens de l'étranger, contribuent au développement du pays ? Comment mobiliser, organiser, structurer de façon efficiente cette richesse trop souvent laissée sur le côté qu’est la Diaspora ?
Les grandes lignes du plan de sauvetage, à suivre dans le prochain article !
L'analyse et les conseils de notre économiste, l'ancien ministre, le Dr Maoulana charif, VP de l'assemblée nationale, sont indispensables
Fraternellement,
Mohamed Salim
