Si on arrivait à définir le nombre des factions de la diaspora comorienne de France, on y trouverait de remède et même parler d’unification...
Si on arrivait à définir le nombre des factions de la diaspora comorienne de France, on y trouverait de remède et même parler d’unification. La diaspora comorienne que certains la condensent par les comoriens de France, devient une « Diaspiege ». Certains veulent nous faire croire que leurs cœurs … sont purifiés et peuvent se refaire facilement une virginité. Trompe qui tu peux car la confiance se donne mais ne se redonne pas. Et lisant le communiqué de quelques personnes résidant en France, s’érigeant en « représentants de la diaspora », on lit aussi les remords nés d’un rêve brisé. Passons.
Président de la diaspora comorienne |
Une cinquantaine de villes de France, représentées par des noms… ? Oh que cela fait un très bon massage conceptuel ! Avec les avertis qui en valent deux, cette fois-ci la pratique de bomber les listes pour impressionner, est raté. Sinon même si nous sommes nombreux à objecter les assises d’Azali-CRC et courtisans, mais cela ne veut pas dire qu’on va estimer le sortilège des âmes, œuvré par des gens aux mains sales de la diaspora.
Pourquoi dans ce communiqué, certains noms, dont ses instigateurs, s’y sont omis ? Pourquoi que des personnes parmi lesquelles, des inconnus de la toile… et dont l’histoire est à creuser… ? Pourquoi, certains noms figurant sur ce communiqué, restent sans explication aucune à ceux auxquels, ils se sont adressés hier, d’une manière virulente et effrontée sur les réseaux sociaux quand leurs frères poussaient pour la tombée des masques de leurs bardés ? Passons.
« Quelle indignité ! »
Les vrais auteurs de ce communiqué, se cachent derrière ses signataires. Les uns sont trahis par leurs griffes sous la toile, les autres par leur silence. Et pourquoi l’omission de leur noms ? Certains sont conscients de leur gredinerie, donc « une conscience coupable n’a pas besoin d’un accusateur ». Où sont, ceux qui foutent leurs nez partout pour qu’on parle d’eux voulant se faire omniscients ? Ils sont où les indélicats, en quête d’une honnêteté perdue et pourtant vêtus d’une probité truquée…?
Ce communiqué, traduit tout et fait tomber la colline de mensonge de certains de nos frères et sœurs sur nos zones de convergences. Ils savaient comme ils savent que les Assises d’Azali-CRC et courtisans ne veulent pas de la « diaspiège ». Mais à tout prix, il faut qu’ils soient représentés pour certains avantages leurs. Telle est leur conviction. Et même dans certaines réunions, ils n’arrivaient pas à cacher leurs intentions. «Ils ont rêvé de l’opulence au pays, sous les badamiers. Indemnité, hôtel, billets d’avion gratuits, vie de luxe, frime… une fois reconnus représentants de la diaspora… aux assises. Passons.
« Nous sommes trahis, nous appelons aux boycottes »
Quelques uns des signataires, avaient défendu… la tenue des assises avec le culot de nous traiter de tous les noms dans les réseaux sociaux ayant dit : « Non, telle démarche est une escroquerie ». Où sont leurs arguments massues. Enfin, ce communiqué est une ceinture qui n’attache que son propriétaire. Aucune cause nationale, ni intérêt général, ni sentiment républicain. C’est un communiqué engendré par les contritions d’avoir perdu, ce qu’on s’est déjà taillé dans les rêves. A bas, les assises d’Azali-CRC et courtisans.
Avec quel front nos frères et sœurs qui ont défendu il n’ y a pas longtemps, comme un fripier normand, la ténue de ces assises, disent aux comoriens qu’ils les boycottent ? Cette version est une version, type de la politique comorienne. Pour la diaspora, il faut attendre un moment avant de parler de confiance. Par Said Yassine Said Ahmed