Depuis quelques jours, le président de la Fédération Comorienne de Football devient la cible des attaques inimaginables pour cet homme qui ...
Depuis quelques jours, le président de la Fédération Comorienne de Football devient la cible des attaques inimaginables pour cet homme qui a hissé notre football au rang international qu'on connaît. Ses détracteurs vont jusqu'à mettre sa tête à prix oubliant cyniquement toute l'autorité et tout l'amour qu'il a investi pour redorer le blason du ballon rond comorien en Afrique et au-delà.
On l'aime ou on ne l'aime pas, force est de reconnaître son engagement et sa force de caractère qui ont aidé nos COELACANTHES à être classés aujourd'hui au 127e rang mondial, sachant que nous venons de très loin.
Certes, Monsieur Tourki Salim ne peut jouir du statut de président à vie mais s'il faut qu'il cede la main ce doit être dans les règles démocratiques et par rapport à la voie réglementaire conformément aux chartes et textes en vigueur.
Cette facilité de se plaire à jouer au degagisme pour faire comme l'ont subi Blater et consorts, Il y'a à faire preuve de responsabilité et de professionnalisme. Quels que soient les manquements qu'aurait fait le président de la FCF, un minimum de discernement doit être de mise, ne serait-ce qu'en vertu des services rendus au pays qui a vu son football se distinguer des autres disciplines en très mauvaise posture.
Ceux qui s'excitent à cracher sur le président Tourki pour des questions de règlement de compte ou de lutte d'influence inappropriée, qu'ils sachent que la morsure de leur venin peut logiquement infecter notre football. Ayons l'esprit sportif pour le bien de notre cher pays. Ortega Abdou Hassani
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