Pourquoi Moussawi peut-il devenir le seul opposant légitime du pouvoir en place aux Comores ? La réponse est surprenante car depuis ces der...
Pourquoi Moussawi peut-il devenir le seul opposant légitime du pouvoir en place aux Comores ? La réponse est surprenante car depuis ces derniers mois on peut lui qualifié du chian ou chien qui veut la peau du ministre Kiki, cependant si l'esprit critique à sa place aux Comores, les paroles d'accusation qu'il avance auraient des graves conséquences dans un pays digne de son nom.
Photo d’archives: Moussawi et l’ancien président Sambi |
Mais avant d'aborder l'importance de sa légitimité d'expression je dis honte aux pseudo journalistes du pays par leur silence alourdissant à l'exception ''d'Al Fajr '' qui ont compris que ce sujet mérite d'être honoré et qui l'on dédié une couverture spéciale.
Le jeune prédicateur mérite notre attention car il évalue des situations précises et agence ses déclarations en s'appuyant sur des détails qui ne sont pas à ignorer et qui devaient surtout intriguer le président de la République d'une manière ou d'une autre si vraiment il a l'initiative de changer les habitudes du banditisme Etatique.
Il est temps que le pouvoir comorien se réveille enfin pour comprendre que la parole de Moussawi attise l'attention de beaucoup de comoriens que deux milles journaux vendus par la presse traditionnelle à savoir la Gazette des comores et Al-watwan et que l'effet Moussawi réveille des consciences critiques Comoriens.
Et l'opposition Juwa dans tout ca ? Il est aussi à s'inquiéter qu'un parti politique se réclamant en premier mouvement du pays mais n'arrive plus à traiter beaucoup de sujets que le sujet des assises, comme si le pays mange assise boit assise et veillée les caprices de Sambi, mais aucune proposition en économie ni plan d'éducation etc.
Pourquoi l'opposition ne demande pas une ouverture d'enquête sur les multiples dossiers malsains et les informations relayées par Moussawi ? Indignez vous et monter la grogne et la pression pour changer les mentalités.
Signé Ibrahim Mohamed (ancien étudiant en Philosophie à Paris Nanterre )