Au lendemain de la décrédibilisation de la commission parlementaire dirigée par Dhulkamal et noyauté par le fils spirituel d'Abobo, le...
Au lendemain de la décrédibilisation de la commission parlementaire dirigée par Dhulkamal et noyauté par le fils spirituel d'Abobo, le conseiller juridique de l'AN pour son comportement et ses agissements contraires aux règles qui régissent l'auguste Assemblée Nationale et sa déontologie, c'est la panique au niveau de l'exécutif qui aura du mal à faire tomber des adversaires politiques anjouanais en instrumentalisant juste une enquête.
Abodo et Sounhadj ont passé toute leur journée d'aujourd'hui à vouloir acheter quelques élus de la Nation pour casser la pétition mettant en cause la violation de séparation des pouvoirs par l'exécutif qui a abouti à une enquête biaisée sur la citoyenneté économique...
Idris, conseiller juridique, dont le père spirituel est Abobo et Dhulkamal, les instruments de cette violation n'ont pas de repos depuis que leur jeu a été découvert par les députés choqués par un tel coup, un tel attentat à l'indépendance de l'Assemblée Nationale. Dans un premier temps, le conseiller juridique a ébruité la liste des députés frondeurs en organisant sa fuite dans l'espoir d'étouffer l'affaire alors qu'elle n'a pas été encore adressé au président de l'institution.
Mais ils n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes. L'outrecuidance, l'arrogance et le peu de sens de la légalité de Dhulkamal lui ont fait méconnaître la règle de séparation des pouvoirs. Personne ne l'a forcé à passer l'aveu: la présidence finance l'enquête et la télécommande pour des objectifs politiques sordides, et la détourne de la mission attendue, celle de faire la lumière sur le dossier de la CE.
AHMED BOURHANE