A part les jeunes qui se font sauter avec diverses substances et plusieurs méthodes, comme la seringue, la mosquito, le Ilali… il y a ceux ...
A part les jeunes qui se font sauter avec diverses substances et plusieurs méthodes, comme la seringue, la mosquito, le Ilali… il y a ceux qui sont pris au piège par leurs aînés, parmi lesquels des messagers de la mort d’autrefois. Nouvel opium le soilihisme. Ici et là, on voit des jeunes qui essaient vainement mais infatigablement de nous emmener à la raison en nous expliquant le soilihisme comme doctrine rêvée de tout un peuple. Et quand même leurs instructeurs, ne leur ont pas été du tout, honnêtes peut-être dans l’idée de se faire soit de l’existence soit de la peau neuve.
Ces révisionnistes des courants marins, s'en prennent à ceux qui disent qu’Ali Soilihi fut un homme comme tant d’autres. Un politicien comme ses pairs. Et là le ciel tombe sur la tête de ceux qui osent démontrer comment cet homme providentiel, fut bourreau avec son commando Mwasi, ses comités et sa célèbre citerne.
C’est là où la plume vomit de l’encre… pur de l’enfant lumière. Jusque maintenant, il y a une unité de l’Armée de Mongozi, qui n’a jamais été évoquée sous la toile, et qui en parallèle avec le Mwasi, commettait les hécatombes. Le « Amani ya Bavu ». Sous les balles de ces exécuteurs, des comoriens sont tombés.
C’est là où la plume vomit de l’encre… pur de l’enfant lumière. Jusque maintenant, il y a une unité de l’Armée de Mongozi, qui n’a jamais été évoquée sous la toile, et qui en parallèle avec le Mwasi, commettait les hécatombes. Le « Amani ya Bavu ». Sous les balles de ces exécuteurs, des comoriens sont tombés.
Non, je crois qu’il faut libérer cette jeunesse de cette drogue qui les stabilise en tort. Ali Soilihi était un dictateur, Ali Soilihi était bien controuvé. Un seul et simple exemple, aucun de ses compagnons n’a pu rester sur sa ligne… et n’a pu résister aux plateaux servis des régimes succédant le sien… et féodaux notamment. Ils se sont tous sauvés et s’accrocher aux butins de période en période. Donc on définit que la vérité se trouve ailleurs. Ces jeunes nous enfument par la construction des collèges, seule référence, de la bonne gouvernance. Et d’autres vont un peu plus loin en nous citant « le siasa ya ufwakuzi » sans qu’ils sachent de quoi s’agit-il. Les instructeurs de la politique de Mongozi, auront l’honnêteté d’inclure dans les têtes de leurs jeunes victimes, les atrocités d’Ali Soilihi et de ses messagers de la Mort dont le Commando Mwasi et les Ikao za Midji… ?
La fusillade à Ikoni où onze personnes ont rendu l’âme, et plusieurs centaines de blessés, la torture des dignitaires de Shindini, notamment des pêcheurs, l’opération militaire à Mbeni, à Sima Anjouan… et autres, sont à saluer ? Pourquoi n’a-t-on pas le front d’assumer que c’est à partir d’Ali Soilihi que la dégradation des mœurs s’est installée ? Pourquoi n’a-t-on pas l’honnêteté de dire que si la situation de Mayotte reste compliquée c’est à cause d’Ali Soilihi qui a rendue « la viande infect »… En vérité les instructeurs du soilihisme ne regrettent pas Ali Soilihi mais c’est juste avoir un terrain d’existence… toutes les preuves se sont établies. Donc certains de nos ainés se réfugient derrière ce précis qui n’a aucun impact chez nombreux comoriens, pour une destinée. Ça fait aussi rire quand le mot révolution, sonne aux de-mer.