L'unité nationale n'a pas de prix. Si un référendum constitutionnel risque de mettre en péril la stabilité politique et la cohésion ...
L'unité nationale n'a pas de prix. Si un référendum constitutionnel risque de mettre en péril la stabilité politique et la cohésion sociale, de grâce Mr le président, soyez raisonnable, ne touchez pas à la tournante !
Quand le président Sambi voulait participer à la tournante de Ngazidja , vous avez refusé sa participation, comme la plupart des leaders politiques de la Grande Comores. J'ai critiqué récemment la pratique du pouvoir et des institutions, je suis un fervent partisan d'une révision constitutionnelle, mais soucieux et conscient des risques de déstabilisation politique encourus si le tour d'Ajouan devait être remis en cause.
J'approuve entièrement l'idée proposée par nos compatriotes anjouanais, d'attendre la présidence mohelienne pour faire un bilan, même si il peut être fait avant, pour ensuite réviser la constitution par référendum. Commencez, Mr le président Azali à.jouer pleinement votre rôle de garant des institutions, de premier magistrat du pays !
Faites en sorte que les lois soient appliquées, que la justice soit indépendante et la constitution soit respectée,car en réalité, c'est de cela dont nôtre pays souffre depuis des décennies: une pratique du pouvoir qui bafoue nos institutions !
Oui Mr le président,vous et votre gouvernement, devez montrer l'exemple:respectez nos institutions et le principe de légalité, il en va de même pour les élus de la nation qui doivent savoir que les lois adoptées sont soumises au contrôle de constitutionnalité.
Said Mohamed Said Athouman
HabarizaComores.com (Habari Za Comores)| أخبار من جزر القمر
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| Photo d'archives |
Quand le président Sambi voulait participer à la tournante de Ngazidja , vous avez refusé sa participation, comme la plupart des leaders politiques de la Grande Comores. J'ai critiqué récemment la pratique du pouvoir et des institutions, je suis un fervent partisan d'une révision constitutionnelle, mais soucieux et conscient des risques de déstabilisation politique encourus si le tour d'Ajouan devait être remis en cause.
J'approuve entièrement l'idée proposée par nos compatriotes anjouanais, d'attendre la présidence mohelienne pour faire un bilan, même si il peut être fait avant, pour ensuite réviser la constitution par référendum. Commencez, Mr le président Azali à.jouer pleinement votre rôle de garant des institutions, de premier magistrat du pays !
Faites en sorte que les lois soient appliquées, que la justice soit indépendante et la constitution soit respectée,car en réalité, c'est de cela dont nôtre pays souffre depuis des décennies: une pratique du pouvoir qui bafoue nos institutions !
Oui Mr le président,vous et votre gouvernement, devez montrer l'exemple:respectez nos institutions et le principe de légalité, il en va de même pour les élus de la nation qui doivent savoir que les lois adoptées sont soumises au contrôle de constitutionnalité.
Said Mohamed Said Athouman
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