Des réformes structurelles sont la clé du changement pour des Comores meilleures et prospères
La citation de Confucius :"L'archer a un point commun avec l'homme de bien : quand sa flèche n'atteint pas le centre de la cible, il en cherche la cause en lui-même." a des aspects politiques intéressantes à savoir : pour être avancer, il convient de rechercher en soi les causes de l'échec au lieu de chercher des boucs émissaires.
Politiquement, j'estime que c'est malvenu de toujours se victimiser et rendre bouc émissaire les contraintes extérieures ou des pays étrangers quand les responsables politiques ne font pas suffisamment de réformes pour redresser les finances de l'Etat en se contentant de toujours demander des aides ou prêts qui ont des effets négatifs à terme.
Je suis pour des réformes structurelles internes, en douceur dans la plus grande concertation et dans un dialogue constructif tout en impliquant les acteurs concernés par lesdites réformes.
La mobilisation des ressources internes est primordiales afin de dégager des ressources additionnelles pour investir dans l'économie nationale, da s la transformation et la valorisation de nos ressources humaines, naturelles et touristiques sans oublier la santé, l'électricité et les infrastructures. Un plan pluriannuel de relance de l'économie passe par la création des conditions favorables pour réduire les coûts de financement des crédits pour la mise en chantier d'usines ou industries créatrices d'emplois pour les jeunes et les moins jeunes tout en valorisant les produits locaux.
D'autres mesures sont possibles.
Darchari MIKIDACHE
