Don Riaroh - Directeur des opérations de Bahari Ressources, et géologue précédemment chef et directeur de l'exploration et de la produc...
Don Riaroh - Directeur des opérations de Bahari Ressources, et géologue précédemment chef et directeur de l'exploration et de la production (E & P) au ministère de l’Énergie du Kenya - contribué à la révision des lois E & P du Kenya en 1986, et utilisé l'expérience pour aider le gouvernement comorien à écrire son nouveau code pétrolier l'année dernière. Il a parlé à Interfax sur le code et le potentiel d'exploration de trois blocs dont Bahari détient à l'ouest des îles.Interfax : Est-ce que le contrat de partage de production (PSC) et le code de pétrole aux Comores sont suivis de près au Kenya? Avez-vous apporté des modifications à la CFP pour répondre aux besoins spécifiques des Comores?
Don Riaroh : La plupart des pays d'Afrique comme le modèle de la CFP. Certains pays ont adopté un modèle PSC-royauté mixte pour l'octroi de licences, mais vous trouverez toujours un bon nombre qui sont purement CFP et nous ne veulent pas se déplacer aux Comores trop loin et trop vite.
Nous leur avons conseillé que la meilleure législation qu'ils pourraient avoir est de faire un CFP simple et alors peut-être, avec le temps, ils peuvent se marier à un régime de redevances - qui est ce que la Tanzanie et le Kenya ont fait.
Cela dit, le comorien CFP dispose d'une clause de redevance, il emprunte un peu de licences de droits, trop.
Interfax : Y at-il d'autres sociétés intéressées par les Comores?
DR : Il ya beaucoup d'intérêt pour les Comores. Beaucoup de gens qui ont étudié le code de pétrole ont été très impressionné. Le modèle de la CFP, parce que c'est juste un modèle, peut avoir des problèmes; mais cela signifie que vous pouvez modifier ou ajouter ou supprimer des lignes que vous avancez.
Toutefois, le code pétrolier a été bien reçu par la Banque mondiale et bien d'autres.Beaucoup de compagnies pétrolières qui se sont penchés sur le code pense que c'est une bonne loi.
Les eaux au large des Comores et de la côte est de l'Afrique suscitent un intérêt considérable.
Interfax : C'est similaire à d'autres pays de la région, comme la Tanzanie et le Mozambique? Est-ce qu'il diffère pas beaucoup de pays voisins?
DR : Non, il ne diffère pas beaucoup du Kenya, de la Tanzanie ou le Mozambique. En fait, nous nous sommes assurés qu'il soit conforme aussi étroitement que possible aux États voisins.
C'est parce que, quand j'étais au ministère de l’Énergie du Kenya et à la présidence du Comité Africain du Pétrole de l'Est, l'un des problèmes que nous avons identifiés, c'est que la loi était différente entre les trois pays partenaires. Tous les trois avaient mis en œuvre le code de pétrole, mais les lois de pétrole du Kenya étaient différentes à l'Ouganda, qui à son tour était différente de la Tanzanie.
En conséquence, nous avons formé un comité pour harmoniser les lois de pétrole des trois Etats. J'ai pris ce que j'avais appris de mon séjour au Kenya, et dit aux Comores: «Regardez, ce serait mieux si le régime de licences des Comores était également similaire que dans les Etats voisins "
Interfax : Pourquoi harmoniser la législation entre les pays? Y'a t-il pas de différence dans la législation nécessaire pour attirer les entreprises vers des pays à la géologie différente?
DR : Si ils sont trop différents, ils apportent des problèmes. Au Kenya, nous avons eu beaucoup de problèmes avec les compagnies pétrolières. Ils disaient «En Somalie, nous le faisons d'une façon, au Mozambique, nous faisons une autre manière». Ils voulaient emprunter un exemple d'un pays et l'amener au Kenya, et ce fut parfois au détriment de nous.
Par conséquent, vous voulez mettre la législation d'un pays aussi près dans les Etats voisins que possible, de sorte que la concurrence est alors basée sur les ressources plutôt que juridique et fiscal.
Interfax : Diriez-vous qu'il ya assez de coordination entre les pays?
DR : En dehors de la communauté est-africaine, je ne suis pas sûr qu'il ya une coopération étroite entre les Etats voisins, mais il ya beaucoup de forums où nous rencontrer et de discuter de diverses choses, alors peut-être nous ne emprunter de l'autre de cette façon.Au Sein de la communauté est-africaine, nous avons le Comité de l'énergie, qui se penche sur divers développements dans le secteur de l'énergie et cherche à harmoniser le développement.
Il ya un mois, la communauté est-africaine a approuvé la création d'une raffinerie de pétrole en Ouganda, qui vous pourriez être surpris d'entendre a été approuvé par le Comité de l'énergie, il ya plus de 10 ans - il était l'un de nos projets phares, avec le pétrole pipeline en Ouganda. L'East African Power Pool a également été approuvé par le Comité de l'énergie. Il ya plusieurs années il n'y avait pas l'Afrique orientale Power Pool, de sorte que le plan directeur d'alimentation Afrique de l'Est a été développé par le Comité de l'énergie.
Interfax : Est ce que le potentiel de gaz au large des côtes du Kenya comparable à celle observée au large du Mozambique et de la Tanzanie?
DR : Personne ne s'intéressait au Kenya après le total foré Simba 1 et au début des années 1980 - il a testé une structure valable, mais il était sec. Les gens sont partis, et personne ne toucheraient le Kenya pendant de nombreuses années jusqu'à ce que nous nous sommes rencontrés Woodside lors d'une conférence dans le Colorado et à les convaincre de venir jeter un oeil.
Woodside a tiré près de 12 000 kilomètres linéaires de sismique et a foré un puits - encore une fois, dans une structure valable - mais a constaté que de l'eau. Encore une fois, tout le monde a quitté le Kenya car il était sec; mais plus tard, des joueurs comme Anadarko et BG Group sont venus et testés horizons plus profonds, et les deux puits forés étaient puits de découverte.
Bien qu'ils n'aient pas été commercial, ils ont fait des découvertes là-bas - si large Kenya se déplace hors de la sphère d'une zone sèche dans une région pétrolière, et peut-être les prochaines puits forés sera producteurs.
Les eaux au large des Comores et de la côte est de l'Afrique suscite un intérêt considérable.
Interfax : Les premières données sismiques couvrant les blocs 35, 36 et 37 ne suggère prolifique bassin de Rovuma au Mozambique - estimée à tenir 4960000000000 mètres cubes de gaz - se propage dans la zone de licence des Comores. Si vous frapper,le gaz trouve la taille de ceux trouvés dans les zones au large des côtes du Mozambique 1 et 4, comment voyez-vous que les Comores s'insérent dans l'image est d'exportation de GNL africain? Il y aura une demande pour les exportations des Comores, étant donné les énormes volumes déjà attendus du Mozambique et en Afrique de l'Est?
DR : Certains des découvertes - comme Ironclad 1 au Mozambique - ont été le pétrole, mais surtout il est le gaz été. Il ya donc une possibilité de pétrole aux Comores , mais si c'est le gaz, on aurait besoin de regarder l'Europe. S'il ya des problèmes avec le gaz russe, peut-être l'Afrique orientale peut déplacer une partie de [lui], mais c'est un gros «si».
Cependant, si nous trouvons du gaz et il est déjà du développement du gaz en Tanzanie et au Mozambique, ce que nous ferons avec le gaz comorien va être un problème. Mais ce sera un bon problème à avoir - au moins pour le pays, et ils pourraient envisager d'autres options de monétisation, comme les industries pétrochimiques.
Interfax : Quels sont vos projets pour les trois blocs d'exploration?
DR : Nous avons des obligations pour la sismique 2D. Nous avons acheté les données GX Technology, et nous avons 2.000 kilomètres linéaires d'études sismiques. Notre proposition est alors soit faire sismique 3D sur la zone la plus prospective et perforer un puits, ou discuter avec nos partenaires si perforer un puits sur la sismique 2D et travailler dessus à partir de là.
Nous croyons que ce qui est s'approvisionne au Mozambique est aussi ce que l'on s'approvisionne aux Comores, mais nous avons besoin de forer pour vous assurer qu'il est, et par conséquent, nous nous pencherons sur une structure plus grande.
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By Leigh Elston - InterfaxArticle traduit par GT
